Comunicado
Global

Fin de l’épreuve endurée pour les migrants bloqués en mer

Un navire bloqué en mer et transportant des
centaines de migrants sans documents d’origine asiatique et
africaine a accosté lundi dans le port de Nouadhibou, dans
le nord de la Mauritanie, après être resté plus
d’une semaine dans les eaux internationales au large des
côtes Mauritaniennes.

Le navire a accosté peu avant midi, et
dans la soirée, les 369 migrants présents à
bord ont pu quitter le Marine 1.

« L’OIM est soulagée de
voir qu’une solution a été trouvée pour
mettre fin aux épreuves endurées par ces migrants
bloqués en mer » affirme Michael Tschanz, qui
dirige l’équipe de l’OIM à Nouadhibou.
« Nous travaillerons avec nos partenaires pour nous
assurer que les migrants candidats à un retour volontaire
dans leur pays d’origine pourront être rapatriés
dans les meilleurs délais. »

Les personnes malades et vulnérables, qui
souffrent pour bon nombre de diarrhée et sont physiquement
épuisés, ont été examinées par
le Croissant-Rouge mauritanien et par la Croix-Rouge
espagnole.

Les services consulaires d’Inde, du
Pakistan et de Guinée Conakry rencontrent actuellement ce
groupe de migrants comprenant 35 personnes originaires
d’Afrique de l’Ouest et 334 personnes originaires du
sud de l’Asie.

L’équipe de l’OIM a
d’ores et déjà informé ces migrants sur
la possibilité d’un retour volontaire dans leur pays
d’origine.

Ces migrants voulaient apparemment rallier les
côtes des îles Canaries lorsque le Marine 1, un navire
rongé par la rouille, a été victime
d’une défaillance mécanique.

"FONT-SIZE: 12pt">Afin de venir en aide aux nombreux migrants
abandonnés en Afrique de l’Ouest par leurs passeurs,
l’OIM a fournit ces dernières années une aide
au retour volontaire à de nombreux groupes de migrants
originaires d’Afrique de l’Ouest et du sud de
l’Asie.

"FONT-SIZE: 12pt">L’Afrique de l’Ouest reste
l’une des principales voies empruntées par les
filières d’immigration clandestines vers
l’Europe, en particulier par les migrants originaires du sud
de l’Asie. \

"FONT-SIZE: 12pt">Avec le renforcement des contrôles aux
frontières terrestres et maritimes, les points de
départs utilisés par les passeurs se sont
déplacés vers le sud, du Maroc vers la Mauritanie, le
Sénégal, et dernièrement la Guinée
Conakry. Des voyages maritimes toujours plus longs exposent les
migrants à toujours plus de dangers.

Pour plus d’informations, veuillez
contacter Jean-Philippe Chauzy, OIM Genève,
Tél. : + 41 22 717 9361, Mobile : +41 79 285 4366,
Email :

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"
mailto:pchauzy@iom.int">pchauzy@iom.int,

lang="FR">ou Jemini Pandya, OIM Genève, Tél. :
+ 41 22 717 9486, Mobile : + 41 79 217 3374, Email :

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"mailto:jpandya@iom.int">jpandya@iom.int