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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Gestion de la mobilité humaine dans un climat changeant dans les régions montagneuses de l’Équateur
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Date de début
2022
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Date de fin
2024
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Statut du projet
Actif
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Type de projet
Environnement et changement climatique
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Budget Amount (USD)
100000.00
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Couverture
National
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Année
2022
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IDF Region
Amérique latine et Caraïbes
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Prima ID
EC10P0521
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Projet ID
NC.0092
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Équateur
Les régions montagneuses du monde entier sont particulièrement vulnérables aux effets du changement climatique. L’on s’attend à ce que le réchauffement de la planète ait des effets dévastateurs sur les systèmes montagneux. Les effets actuels et prévus du changement climatique dans les régions montagneuses ont déjà, et continueront d’avoir, des conséquences importantes sur les différentes formes de mobilité humaine. Les changements survenant dans les écosystèmes montagneux contribuent à façonner différents types de mouvements de population, tels que la transhumance, le pastoralisme, la migration de main-d’œuvre et les déplacements. Souvent, cependant, les décideurs et les praticiens ne disposent pas des moyens nécessaires pour gérer les conséquences du changement climatique sur la migration humaine dans les régions montagneuses.
Ce projet contribuera à une meilleure gestion des chances et des défis que présente la mobilité humaine liée aux conséquences néfastes du changement climatique dans les régions montagneuses de l’Équateur. Il sera envisagé d’articuler ce projet avec un projet semblable mené au Kazakhstan, de façon à promouvoir une approche conjointe des défis posés par le changement climatique sous l’angle de la mobilité humaine dans les régions montagneuses. Deux composantes distinctes permettront d’y parvenir : 1. Recherche et capacités : Le projet viendra renforcer la base mondiale d’éléments factuels sur la mobilité humaine dans des contextes de catastrophe, de dégradation de l’environnement et de changement climatique dans les régions montagneuses, en particulier de haute montagne, du point de vue de l’Équateur, ce qui contribuera à la diffusion de nouvelles informations. À cette fin, le projet posera les bases d’une étude par panel qui sera menée en coordination avec des acteurs nationaux. Il développera également les capacités des parties prenantes nationales et débouchera sur une meilleure compréhension de la gestion de la migration environnementale et des déplacements dus aux catastrophes dans les régions de haute montagne. 2. Appui aux politiques et promotion de la collaboration : La seconde composante du projet consistera à promouvoir le dialogue entre les pays montagneux de la région afin de favoriser la cohérence des politiques sur le lien entre la migration, l’environnement et le changement climatique (MECC). Le projet analysera également les politiques de MECC afin d’évaluer dans quelle mesure les politiques, les lois et les stratégies nationales sont conformes aux recommandations de l’Équipe spéciale de la CCNUCC chargée de la question des déplacements de population, qui relève du Mécanisme international de Varsovie relatif aux pertes et préjudices. La collaboration sera renforcée dans le cadre du Partenariat de la montagne, ainsi que d’autres organes interrégionaux, afin d’appeler l’attention sur les défis liés à la mobilité humaine dans le contexte du changement climatique.