-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Amélioration des connaissances sur les migrations provoquées par le changement climatique et les aléas naturels et renforcement de la gestion de ces migrations à Djibouti
-
Date de début
2019
-
Date de fin
2022
-
Statut du projet
Achevé
-
Type de projet
Environnement et changement climatique
-
Budget Amount (USD)
200000.00
-
Couverture
National
-
Année
2019
-
IDF Region
Afrique
-
Prima ID
DJ10P0503
-
Projet ID
NC.0033
-
Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Djibouti
Depuis 2007, la République de Djibouti connaît une sécheresse sans précédent, dont les multiples effets cumulés ont gravement touché plus de 120 000 personnes en milieu rural : réduction du niveau de la nappe, assèchement des puits traditionnels utilisés pour l’approvisionnement en eau potable de la population rurale et du bétail, et dégradation ou destruction totale de la couverture végétale dans de nombreuses régions, qui ont décimé des troupeaux de bétail. Conséquence directe de cette sécheresse, la perte de sources de revenus et de moyens de subsistance dans ces zones rurales, qui a provoqué un exode vers des zones urbaines ou périurbaines. Ce phénomène a été observé dans la région d’Obock, où des centaines de ménages ont quitté le nord du district pour se rendre à Fantaherou, une localité périurbaine nouvellement établie au sud de la ville d’Obock. Les capacités des autorités à fournir des services de base sont d’ores et déjà dépassées par la croissance rapide de cette population. De plus, l’absence de politiques et de programmes fondés sur des éléments factuels, conjuguée au manque de moyens dont dispose le Gouvernement pour aider les migrants vivant dans des implantations sauvages, entrave considérablement la gestion des migrations dans le district d’Obock.
Pour remédier à cette situation, le projet proposé vise à aider le Gouvernement de Djibouti à améliorer sa connaissance des migrations internes dues au changement climatique et à renforcer leur gestion. À cette fin, une évaluation globale des migrations internes liées au changement climatique à évolution lente sera effectuée, qui s’intéressera en particulier à la sécheresse et aux vulnérabilités et besoins des migrants. Un dialogue politique de haut niveau sera organisé au cours duquel les conclusions de l’évaluation seront examinées avec le Gouvernement de Djibouti et des parties prenantes clés, à des fins de sensibilisation à la migration environnementale à Obock et d’appui à la formulation de politiques gouvernementales pertinentes destinées à protéger les migrants environnementaux et à mieux gérer la migration environnementale.