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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
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- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Renforcement des capacités des fonctionnaires du Gouvernement de l’Angola en matière de gestion humanitaire des frontières
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Date de début
2019
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Date de fin
2022
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Immigration et frontières
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Budget Amount (USD)
200000.00
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Couverture
National
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Année
2019
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IDF Region
Afrique
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Prima ID
AO10P0501
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Projet ID
IB.0107
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Angola
Ce projet a pour objectif général de renforcer les capacités de préparation et de réponse du Gouvernement de l’Angola pour qu’il puisse gérer des crises humanitaires transfrontalières provoquées par une catastrophe naturelle et/ou d’origine humaine ou des troubles politiques/militaires. Cet objectif sera atteint selon une approche de gestion humanitaire des frontières. Le projet contribuera en outre à la protection des droits de l’homme des migrants vulnérables, veillera à la prise en considération systématique des questions de sexospécificité, et renforcera les capacités du Gouvernement pour qu’il soit mieux à même de gérer les migrations de manière sûre et ordonnée.
Dans l’approche de gestion humanitaire des frontières, il est fondamental de faire en sorte que les autorités frontalières soient capables de réagir comme il se doit aux mouvements transfrontaliers provoqués par une catastrophe naturelle ou d’origine humaine, d’une manière qui protège effectivement les structures souveraines de sécurité nationales et locales touchées par une crise migratoire, tout en garantissant le plein respect des droits de l’homme des migrants. L’Angola ne dispose pas encore de mécanismes de préparation et/ou de réponse appropriés en cas de mouvements migratoires massifs inattendus liés à une crise survenant à des points de passage frontaliers, officiels ou non. Ce projet sera axé sur la préparation et sur les interventions d’après-crise, après la crise des réfugiés de 2017 en République démocratique du Congo (RDC) et la récente expulsion massive de migrants dépourvus de documents vers la RDC, le Mali et la Guinée, au départ de l’Angola.