Mobilité de la main-d’œuvre comme facteur de développement en Europe du Sud Est

  • Date de fin
    2024
  • Statut du projet
    Achevé
  • Type de projet
    Migration de main-d’œuvre
  • Budget Amount (USD)
    70000.00
  • Couverture
    Regional
  • IDF Region
    Europe
  • Projet ID
    LM.0251
  • Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
    Albanie Bosnie-Herzégovine Monténégro Serbie Croatie

Le projet contribuera au renforcement des processus d’intégration du marché du travail en Europe du Sud-Est, en dotant les gouvernements d’outils pratiques permettant de gérer la migration de main-d’œuvre et de diffuser des informations. Le premier volet – une étude régionale – examinera l’écart croissant entre la réglementation régissant la mobilité de la main-d’œuvre et l’intégration économique en Europe du Sud Est, et proposera des moyens d’aller de l’avant en décrivant :
1) Le contexte réglementaire général en Europe du Sud-Est à l’échelle internationale et régionale ;
2) Les politiques nationales et les mécanismes de régulation qui régissent la mobilité de la main-d’œuvre, sous l’angle des mesures prises pour faciliter les mouvements de catégories particulières de travailleurs migrants, de la cohérence avec des objectifs régionaux en constante évolution, et de la conformité avec l’acquis et les normes de l’UE ;
3) Les lacunes et les incohérences existantes, et les moyens possibles d’y remédier grâce à une approche de coopération conjointe au niveau régional.
Le second volet – élaboration d’un boîte à outils de diffusion d’informations – familiarisera le personnel des centres de services aux migrants avec des techniques permettant de consulter avec efficacité les sources d’information publiques existantes, grâce au recensement des sources d’information en matière d’emploi dans les principaux pays de destination, et à la mise à jour du site Internet régional des centres de services aux migrants. Le personnel de l’OIM diffusera cette boîte à outils au sein des réseaux de conseillers des centres de services aux migrants déjà en place, par l’intermédiaire de leurs interlocuteurs des ministères du travail.