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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Une étude examine l'impact de la crise financière sur les enfants
Une nouvelle étude sur les rapatriements de fonds 2009 :
enfants et adolescents, la huitième d'une série
produite par l'OIM Guatemala, conjointement avec l'UNICEF, confirme
l'impact négatif de la crise financière sur les
enfants et les adolescents dans le pays.
La baisse des rapatriements de fonds de la part des proches
à l'étranger oblige des dizaines de milliers
d'enfants à abandonner l'école pour trouver du
travail afin de compléter le revenu de la famille.
Sur les 3 000 foyers interrogés par l'OIM et l'UNICEF,
8,7% des enfants âgés de 7 à 17 ans ne peuvent
plus aller à l'école et 7,4%, soit 92 905 enfants de
la même tranche d'âge, ont été
obligés de trouver du travail pour compléter les
ressources familiales.
« Quarante-deux pour cent de ces enfants allaient à
l'école en 2008. Cela confirme donc les conséquences
directes de la crise financière sur les choix que les
familles doivent faire », explique Delbert Field, chef de
mission de l'OIM au Guatemala.
Les personnes interrogées ont confirmé à
l'OIM et à l'UNICEF que la migration avait
amélioré leur qualité de vie. Pendant de
nombreuses années, les rapatriements de fonds qu'ils
recevaient permettaient aux enfants d'arrêter de travailler
et d'aller à l'école.
« Les données de cette dernière étude
peuvent être un outil précieux pour
l'élaboration de politiques publiques visant à
encourager le potentiel de développement des rapatriements
de fonds, ce qui se traduirait indéniablement par une
amélioration des opportunités pour les enfants
», ajoute Delbert Field.
D'après l'étude sur les rapatriements de fonds
publiée en 2009, environ 1,6 million de
Guatémaltèques vivent à l'étranger,
dont 70,5% sont des hommes qui envoient des fonds à 1 557
234 familles dans le pays. Le montant mensuel moyen des fonds de
272 dollars devrait représenter 3,84 millions de dollars en
2009, soit une baisse de 11% par rapport à 2008.
Pourtant, le chômage aux Etats-Unis, pays où 97%
des migrants guatémaltèques vivent, ne dissuade pas
d'autres personnes de migrer. Les réponses données
indiquent que 7,1% des personnes interrogées
prévoient de migrer dans les 12 prochains mois.
Seules 3,3% des familles interrogées ont confirmé
qu'un membre de leur famille était rentré au pays
cette année et ont cité l'expulsion, la crise
financière, la maladie et la retraite comme en étant
les principales causes.
Soixante-douze pour cent des répondants ont défini
leur situation économique entre mauvaise et correcte.
Beaucoup de ces familles ont été obligées de
réduire le nombre de repas quotidiens et la quantité
de calories consommées au cours de chaque repas, ce qui
provoque des pertes de poids chez les bébés
âgés de 7 à 23 mois.
Un exemplaire du rapport est disponible en espagnol sur le site
target="_blank" title="">www.oim.org.gt. La version anglaise
sera disponible dans les prochaines semaines. Pour plus
d'informations, veuillez contacter:
Sonia Pellecer
OIM Guatemala
Tél. +502 2362 83 67 à 70
Email:
"mailto:spellecer@iom.int">spellecer@iom.int