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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Un soutien urgent est nécessaire tandis que des milliers de membres de la communauté de Cox's Bazar perdent leurs moyens de subsistance
Cox's Bazar - L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) est préoccupée par le sort de plus de 80 000 membres des communautés des sous-districts d'Ukhiya et de Teknaf à Cox's Bazar qui ont perdu leurs revenus et leurs biens suite aux inondations dévastatrices qui ont balayé la ville depuis le 27 juillet.
Près de 2 500 jardins potagers ont été partiellement ou totalement endommagés et 140 arbres ont été anéantis, ce qui soulève des inquiétudes quant à l'érosion des sols et aux glissements de terrain provoqués par ce que les habitants décrivent comme les précipitations les plus importantes depuis plus de dix ans.
« La pandémie de COVID-19 et le confinement en cours ont déjà laissé des millions de personnes à travers le pays sans emploi et ils ont du mal à joindre les deux bouts », a déclaré Manuel Marques Pereira, chef de mission adjoint de l'OIM au Bangladesh.
« Beaucoup avaient réussi à se relever grâce aux différentes opportunités de moyens de subsistance offertes par la communauté humanitaire, mais sont maintenant obligés de repartir de zéro. »
Mostafa Khatun, veuve, est le soutien de famille depuis des années. En 2020, elle a reçu une subvention en espèces de l'OIM et a suivi une formation sur la culture de légumes et l'élevage de volailles. Elle a utilisé la subvention pour acheter le matériel nécessaire au démarrage de son activité et en dépend depuis pour son revenu mensuel.
« J'ai perdu mon potager dans les inondations, ainsi que 10 poules et mon abri », a déclaré Mostafa. « Je dors actuellement dans l’enclos des chèvres de mon voisin. Je ne sais pas où aller. »
L'urbanisation rapide des deux sous-districts de Teknaf et d'Ukhiya pourrait avoir conduit à l'obstruction du système de drainage naturel, provoquant une accumulation rapide des eaux de pluie et des crues soudaines.
Depuis le début des pluies de la mousson, l'OIM aide les volontaires locaux du programme de préparation aux cyclones à diffuser des messages d'alerte rapide sur les glissements de terrain et l'évacuation, touchant plus de 175 000 personnes vivant dans 244 zones vulnérables du district de Cox's Bazar.
L'administration locale a rapidement ouvert les abris anticycloniques où des milliers de familles déplacées ont depuis trouvé refuge. Elles reçoivent actuellement des articles de secours, une protection et un soutien médical.
Le programme de moyens de subsistance de l'OIM propose aux membres des communautés d'accueil différents types d'activités génératrices de revenus. Depuis 2017, près de 11 000 membres de la communauté d'accueil ont accédé à des moyens de subsistance, et plus de 6 000 réfugiés rohingyas ont bénéficié de services d'autonomisation.
De nombreux membres de la communauté ont aujourd’hui perdu tous leurs moyens de subsistance et leurs biens dans les inondations, notamment le bétail, les produits de la pêche et les cultures, et ont besoin d'une aide immédiate pour leur relèvement. Plus de 3 000 personnes ayant bénéficié d'un soutien aux moyens de subsistance accusent des milliers de dollars de pertes.
De nombreuses personnes ont déclaré avoir réduit de façon drastique la qualité et la quantité de leurs repas quotidiens, avoir utilisé leurs économies ou contracté un crédit pour acheter de la nourriture, ou être devenues entièrement dépendantes d'une aide extérieure pour survivre depuis le début des pluies.
Les équipes d'évaluation de l'OIM ont effectué une évaluation des besoins d'urgence à Teknaf afin de mieux comprendre l'impact immédiat et à moyen terme des inondations sur la vie et les moyens de subsistance des communautés d'accueil.
L'évaluation a mis en évidence la nécessité immédiate de reconstruire les maisons, les latrines, les cabines de douche et les routes endommagées dans les villages touchés, ainsi que le besoin de subventions en espèces polyvalentes pour récupérer les biens des personnes.
Une aide d’urgence est nécessaire pour aider les membres de la communauté d'accueil touchés par les inondations, ainsi que pour les réfugiés résidant actuellement dans des camps à Cox's Bazar. Téléchargez ici l'appel 2021 de l'OIM pour le Bangladesh.
Le soutien à la réduction des risques de catastrophe pour les communautés d'accueil, tels que le programme de préparation aux cyclones et la réhabilitation des abris anticycloniques, ainsi qu'une partie des opportunités de moyens de subsistance de l'OIM pour les communautés d'accueil à Cox's Bazar sont soutenus par le Bureau de l'aide humanitaire de l'USAID.
Pour plus d'informations, veuillez contacter :
A Cox's Bazar : Monica Chiriac, Tel : +880 18 8009 4048, Email : mchiriac@iom.int
A Bangkok : Itayi Viriri, Tel : +66 65 939 0934, Email : iviriri@iom.int
A Genève : Paul Dillon, Tél : +41 79 636 9874, Email : pdillon@iom.int