-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Trouver des solutions à la migration liée au climat et à l'environnement
Alors que la Conférence des Nations Unies sur le changement
climatique dans la ville mexicaine de Cancun atteint une phase
décisive, des questions sur les solutions concrètes
à prendre afin de faire face aux défis de la
migration liée au climat et à l'environnement seront
débattues par l'OIM et ses partenaires de l'Alliance sur le
changement climatique, l'environnement et la migration (CCEMA en
anglais), mercredi 8 décembre.
William Lacy Swing, Directeur général de l'OIM,
jouera le rôle de modérateur lors d'un
évènement qui aura lieu en parallèle à
la Conférence sur le climat. Le Dr. Hasan Mahmud, Ministre
bangladeshi de l'environnement et des forêts, fera un
discours important avec d'autres partenaires, à savoir le
Professeur Konrad Osterwalder, recteur de l'Université des
Nations Unies (UNU), le Dr. Thomas Loster de la Munich Re
Foundation et Jose-Miguel Guzman, responsable de la branche de la
population et du développement du Fonds des Nations Unies
pour la population (FNUAP).
connexe
alt="" border="0" height="12" hspace="0" src=
"/jahia/webdav/site/myjahiasite/shared/shared/mainsite/graphics/interface/icons_buttons/blue_link_box.gif">
target="" title="">IOM at UNFCCC Conference 16, Cancun
Bien qu'il n'existe aucune donnée fiable sur la migration
liée à l'environnement, il est clair que ce type de
mouvement humain augmentera considérablement dans un avenir
proche étant donné l'ancrage de plus en plus
profond des effets du changement climatique, selon le rapport
2010 de l'OIM sur les migrations dans le monde. Les pays les moins
avancés sont déjà les plus touchés par
la migration climatique et environnementale et le seront de plus en
plus dans les prochaines décennies, surtout à
l'intérieur de leurs propres frontières.
La démographie pourrait également jouer un
rôle dans ce type de migration. D'après le rapport,
c'est par exemple le cas du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord,
où la dégradation de l'environnement réduira
la quantité de terre arable, conduisant ainsi à une
pénurie d'emplois au sein d'une jeune population qui
croît rapidement. Par conséquent, les personnes
pourraient avoir à quitter le pays pour trouver du travail
dans un monde où il existe peu de moyens légaux pour
migrer.
Plusieurs solutions telles que l'établissement d'une base
de données globale sur ce type de mouvements pourrait
permettre de gérer les conséquences complexes et
imprévisibles de la migration environnementale. Cette base
de données permettrait de fournir plus d'informations
à partir desquelles les gouvernements pourraient formuler
des politiques et trouver des solutions.
La réduction des risques de catastrophes naturelles,
l'élaboration de plans d'évacuation,
l'élaboration et la mise en uvre de plans nationaux
d'adaptation qui réduisent leur vulnérabilité
au changement climatique et le renforcement des lois et des
politiques nationales sur le déplacement interne sont autant
d'autres mesures qui pourraient aussi permettre de réduire
les impacts négatifs du changement climatique sur la
migration. Elles permettraient également de faire une
différence immédiate sur les populations
touchées, notamment sur les groupes vulnérables.
L'évènement à Cancun, organisé par
l'OIM et l'UNU en association avec la Munich Re Foundation et le
FNUAP, fait partie des efforts de la CCEMA visant à
intégrer la migration dans les programmes des
conférences liés au développement, au
changement climatique et à l'environnement. La CCEMA a
été créée pour organiser un partenariat
novateur qui puisse répondre aux problèmes sans
précédent posés par la migration
environnementale. Les membres de la CCEMA comprennent, à ce
jour, l'OIM, le PNUE, l'UNU, la Munich Re Foundation, l'UNOCHA,
l'Institut de Stockholm sur l'environnement, l'Université de
Sussex, le Fonds mondial pour la nature (WWF) et le Partenariat
mondial sur l'adaptation au climat (CGAP).
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Niurka Piñeiro, Cancun
Tél: +1 212 684 0559
E-mail:
"mailto:npineiro@iom.int">npineiro@iom.int