-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Sensibilisation accrue au problème de la traite des êtres humains
Le dimanche 3 septembre débutera, à Kaboul, un
atelier de trois jours sur le thème de la sensibilisation
auprès des représentants gouvernementaux sur la
question de la traite des êtres humains en vue de coordonner
les interventions de lutte contre la traite en Afghanistan.
Près de 50 participants de quatre ministères
afghans participeront à cet atelier. Mme Hassan Banu
Ghadanfar, récemment nommée Ministre de la Condition
Féminine, ouvrira les débats.
Cet atelier, financé par le Bureau de la population, des
réfugiés et de la migration du Département
d’État américain, s’inscrit dans le
programme d’aide directe de l’OIM aux victimes de la
traite, en coopération avec le gouvernement afghan,
programme lancé il y a un peu plus d’un an. Deux
autres ateliers organisés en avril et août 2006
avaient réuni, à Kaboul et dans la ville
d’Herat, plus de 80 participants, représentants du
gouvernement ou d’ONG partenaires, dans une tentative
similaire, en vue de renforcer les liens entre les parties
prenantes dans la lutte contre la traite.
«L’Afghanistan est un des plus gros producteurs
d’opium au monde et il existe un lien entre le trafic de
drogue et la traite des êtres humains. L’Afghanistan
est en état de guerre et une grande partie de la population
a subi d’importants traumatismes. La pauvreté est
massive et la population, du fait de la méconnaissance de
ses droits, est particulièrement vulnérable face
à la traite» affirme Sohaila Alekozai-Mossadeq,
activiste afghane des droits de la femme et participante à
l’un des ateliers organisé par l’OIM.
D’après le rapport publié en 2006 par le
Département d’Etat américain sur la traite des
êtres humains, l’Afghanistan est un pays
d’origine pour la traite de femmes et d’enfants
à des fins de travail forcé et d’exploitation
sexuelle, aussi bien en Afghanistan qu’à
l’étranger.
Les enfants sont victimes de la traite à
l’intérieur du pays. Ils sont forcés de mendier
ou de travailler dans les fabriques de briques et de tapis. La
Commission afghane des Droits de l’Homme n’a fait
état que de 150 cas d’enfants victimes de la traite
cette année, alors que beaucoup pensent que les chiffres
sont en réalité bien plus élevés.
En Afghanistan, des femmes et des filles sont enlevées ou
vendues en vue de mariages forcés ou d’exploitation
sexuelle. Elles peuvent par ailleurs être utilisées
pour rembourser une dette ou résoudre un conflit. A
l’étranger, les femmes et les filles afghanes sont
victimes de la traite principalement en direction de l’Iran,
du Pakistan, et de l’Arabie saoudite, à des fins de
travail forcé ou d’exploitation sexuelle.
Pour plus d’informations, veuillez contacter:
Yitna Getachew
OIM Kaboul
Email :
"mailto:Ygetachew@iomkabul.net">Ygetachew@iomkabul.net