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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM réfute les dires d'un article de la tribune libre du New York Times
Le Directeur général de l'OIM a écrit aux
rédacteurs en chef du New York Times et du International
Herald Tribune suite à la publication, dans ces deux
journaux, d'une insinuation scandaleuse concernant l'OIM, dans un
article d'opinion intitulé « Can Privatization Kill ?*
», le 1er avril.
Le contenu de la lettre est le suivant :
« Le New York Times (le 1er Avril) et le
International Herald Tribune (le lundi 2 avril) ont
publié un article d'opinion intitulé « Can
Privatization Kill ? », rédigé par Thomas
Gammeltoft-Hansen, chercheur à l'Institut danois des
études internationales (DIIS).
L'article, qui reflétait les inquiétudes
légitimes de M. Gammeltoft-Hansen concernant les droits
fondamentaux et le traitement des migrants rapatriés de
force, comportait malheureusement une erreur criante.
Il sous-entend que l'Organisation internationale pour les
migrations (OIM) est complice de ces expulsions forcées et
parfois fatales, de plus en plus déléguées par
les gouvernements au secteur privé, et qu'elle en tire
profit.
L'OIM est une organisation intergouvernementale à but non
lucratif composée de 146 Etats membres. Conformément
aux conditions énoncées dans sa Constitution, elle ne
joue pas et n'a jamais joué de rôle dans les
expulsions forcées.
En 2010, l'OIM a reçu 265 millions de dollars pour
fournir une aide au retour volontaire et à la
réintégration aux demandeurs d'asile dont la demande
n'a pas aboutie et aux migrants bloqués, entre autres, et
pour proposer une aide technique et une formation aux responsables
des gouvernements visant à améliorer leurs
systèmes opérationnels de gestion des migrations.
Le financement reçu a également servi à
réaliser un large éventail d'activités en vue
de soutenir les victimes de traite, à la fois par le biais
d'une aide directe et par l'intermédiaire d'ONG et
d'institutions gouvernementales.
Je serais reconnaissant au New York Times et au
International Herald Tribune d'éclaircir ce point
aux lecteurs de leurs pages de courrier respectives. »
*
"http://www.nytimes.com/2012/04/02/opinion/when-it-comes-to-immigration-privatization-can-kill.html"
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