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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM publie une étude sur les effets des réseaux sociaux sur le marché du travail koweïtien
Kuwait - L’OIM au Koweït a publié une étude sur les effets des réseaux sociaux sur le marché du travail koweïtien. La publication a eu lieu en même temps qu’une consultation de 15 responsables gouvernementaux de l’Autorité publique du pays pour la main-d’œuvre (PAM en anglais).
L’étude a montré que les réseaux sociaux pouvaient contribuer à une inadéquation des compétences de la main-d’œuvre étrangère avec les besoins du marché du travail koweïtien. Les travailleurs peuvent obtenir un emploi qui ne correspond pas à leur ensemble de compétences, simplement parce que l’intermédiaire – une personne de leur réseau social – parvient à persuader l’employeur d’embaucher une personne non qualifiée.
Cette mauvaise utilisation des réseaux sociaux peut faciliter le recrutement inapproprié de travailleurs étrangers non qualifiés. Elle peut aussi servir de plateforme pour le commerce de visas.
La principale recommandation de l’étude était d’établir un nouveau système de permis de travail pour étranger reposant sur l’augmentation du recrutement de ressortissants koweïtiens et la baisse progressive de l’embauche de main-d’œuvre étrangère non qualifiée, faisant passer le Koweït d’une économie à forte intensité de main-d’œuvre à une économie à forte intensité de capital.
Le nouveau système de permis permettrait d’abord d’identifier le nombre de travailleurs nationaux qui peuvent potentiellement pourvoir les postes disponibles dans un secteur donné, puis de fixer un nombre maximum de permis aux travailleurs étrangers qui peuvent pourvoir les postes restants. Ce nouveau système comprendrait une stratégie nationale de formation pour s’assurer que tous les travailleurs soient bien formés pour accomplir leurs tâches respectives.
« Cette étude de l’OIM apporte une solution innovante pour estimer la demande de travailleurs étrangers. Cela aidera les acteurs concernés à développer des mécanismes pour gérer efficacement le marché du travail koweïtien et sa composition », a déclaré Iman Ereiqat, chef de mission de l’OIM au Koweït.
La recherche a été réalisée par le biais d’entretiens approfondis avec des employeurs, des employés, des membres des réseaux sociaux des employés, des représentants communautaires et des responsables gouvernementaux au Koweït et dans deux pays d’origine de main-d’œuvre asiatiques : l’Inde et le Népal.
L’étude a été menée à bien dans le cadre d’un Programme conjoint pour soutenir le PAM, mis en œuvre par l’OIM, le PNUD et l’OIT, avec le financement du Secrétariat général du Conseil suprême de la planification et du développement du Koweït.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Mohamed El Zarkani, OIM Koweït, Tel: +965 993941, Email: melzarkani@iom.int