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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM lance sa septième étude annuelle sur les rapatriements de fonds des migrants au Guatemala
La septième étude annuelle de l'OIM sur les
rapatriements de fonds des migrants au Guatemala –
publiée cette semaine à Guatemala City –
prévoit un total de 4,4 milliards de dollars de
rapatriements de fonds cette année.
L'étude 2008 de l'OIM, intitulée Rapatriements de
fonds des migrants et environnement, comprenait des questions sur
la façon dont les flux migratoires et les rapatriements de
fonds de ceux qui ont migré suite à une catastrophe
naturelle influe sur la vie des membres de leur famille
restés au pays.
D'après le rapport, les catastrophes naturelles en
Amérique centrale entraînent des migrations soudaines
principalement à cause de l'incapacité du
gouvernement à résoudre les problèmes
économiques résultant d'une catastrophe
naturelle.
Les pertes économiques des pays d'Amérique latine
et des Caraïbes dues à des ouragans, des tempêtes
tropicales, des inondations, des séismes et d'autres
catastrophes naturelles ont atteint 92 milliards de dollars entre
1975 et 2002 (3,4 milliards par an).
Victor Lozano, Chef de projet de l'étude de l'OIM,
explique: « Les migrants déjà établis
à l'étranger envoient plus d'argent lorsqu'une
catastrophe naturelle survient. Les rapatriements d'argent suite
à une catastrophe naturelle peuvent donc être
considérés comme vitaux pour les économies des
familles directement touchées et pour le pays, celui-ci
devant traverser une phase d'urgence et de reconstruction
».
Le rapport 2008 révèle que même si le volume
général des rapatriements a diminué lentement
ces quatre dernières années, et a diminué de
plus de 20 pour cent par année de 2001 à 2004, les
fonds reçus entre 2005 et 2008 ont augmenté de 10
pour cent.
Quarante-sept pour cent des fonds sont utilisés pour la
nourriture, les vêtements, le logement, le transport et
d'autres besoins de base; 25 pour cent des fonds sont investis
et/ou économisés; 15 pour cent servent à
acheter du matériel et d'autres produits pour des
micro-entreprises; et 12 pour cent sont consacrés aux soins
et à l'éducation.
Ces six dernières années, les études de
l'OIM ont rapporté que 20 pour cent de la
totalité des fonds reçus étaient
consacrés aux économies et à l'investissement.
Cette année, les familles interrogées ont
confirmé qu'en 2008, elles espéraient épargner
en moyenne plus de 1 000 dollars.
L'étude, qui a porté sur un échantillon de
3 000 familles vivant dans les 22 départements du pays,
rapporte que plus d'un million de Guatémaltèques
reçoivent des fonds de proches établis à
l'étranger; 66,5 pour cent de ces fonds sont reçus et
gérés par des femmes. Le nombre total de
Guatémaltèques bénéficiant de fonds est
de 4,1 millions, soit 30,4 % de la population. Près de 11
pour cent de ces personnes ont déclarées être
victimes des catastrophes naturelles.
L'étude a également constaté une hausse du
nombre de migrants envoyant des fonds. En 2002, 80
Guatémaltèques sur 100 vivant à
l'étranger envoyaient de l'argent à leur famille; en
2008, ils sont 85 sur 100. La moyenne des fonds envoyés est
passée de 222 dollars en 2003 à 345 dollars en
2008.
En 2008,1 313 931 migrants guatémaltèques ont
envoyé des fonds. Quatre-vingt dix-sept pour cent d'entre
eux vivent aux États-Unis, principalement dans les
États de Californie, de New York, de Floride et du Texas. En
2008, les fonds provenant de Californie représentaient
à eux seuls 1,4 milliards de dollars.
En 2008, 86,1 pour cent des rapatriements ont été
envoyés par transfert électronique via Western Union,
Money Gram et d'autres agences internationales, et 10,3 pour cent
seulement par transfert bancaire.
Le rapport complet en espagnol est disponible en ligne sur
class="paragraph-link-no-underline" href="http://www.oim.org.gt"
target="_blank" title="">www.oim.org.gt. La version anglaise
sera disponible en décembre 2008.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Victor Lozano
OIM Guatemala
Tél.: +502 2362-8367 to 70
E-mail:
"mailto:iomguatemala@iom.int">iomguatemala@iom.int