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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM et les partenaires du gouvernement indonésien recueillent des données sur le déplacement suite au séisme
Indonésie - A la demande du gouvernement indonésien, l’OIM a déployé aujourd’hui 16 fonctionnaires dans la province d’Aceh pour commencer à suivre et à surveiller les lieux et les besoins de près de 84 000 personnes déplacées par le puissant séisme de la semaine dernière.
Après une formation d’une journée dans la capitale provinciale, Banda Aceh, cinq équipes de l’OIM, associées au personnel de l’Agence nationale indonésienne de gestion des catastrophes (BNPB), seront déployées mercredi, en vue de recueillir des données dans 124 lieux d’installation temporaire, dans deux districts touchés par le séisme.
Les équipes alimenteront la matrice de suivi des déplacements (DTM) de l’Organisation, qui peut systématiquement capturer, traiter et diffuser des informations sur les tendances anticipées du déplacement et sur les populations déplacées comme celles à Aceh.
« Nous aidons l’OIM a déployer cette DTM en collaboration avec notre personnel de la Direction chargée de la gestion des déplacés internes à Aceh et ce sera une excellente opportunité pour eux d’apprendre comment réaliser ce genre d’évaluation », a déclaré Taufik Kartiko, directeur de l’agence chargée de la gestion des déplacés internes.
« Nous espérons que les meilleures pratiques acquises grâce à la DTM seront appliquées dans le contexte indonésien et mises en œuvre dans les systèmes de gestion des informations de la BNPB sur les déplacés à l’avenir. »
Le séisme du 7 décembre a tué 101 personnes, en a blessé plus de 850 et a endommagé 11 668 habitations, bureaux gouvernementaux, écoles et mosquées. Des dizaines de répliques ont alimenté les craintes de certaines habitants qui continuent de vivre dans des tentes et des abris de fortune temporaires ou dans des mosquées locales plutôt que de rentre chez eux.
« Le nombre signalé de déplacés a presque doublé ces trois derniers jours et la DTM pourra dresser un tableau bien plus précis du profil des déplacés et de leurs besoins », a déclaré aujourd’hui Mark Gretchell, chef de mission de l’OIM, depuis l’une de ces installations à Meureudu, dans la régence de Pidie Jaya, où quelque 2 500 personnes trouvent actuellement refuge.
« Par exemple, les personnes que j’ai rencontrées ce matin m’ont confié que leur puits était actuellement boueux et l’eau imbuvable. Certains sont prêts à rentrer chez eux une fois que les débris et les gravats seront retirés mais s’il n’y a rien à boire, il est peu probable qu’ils restent. Ce genre d’information précieuse aidera le gouvernement à planifier sa réponse et à établir des priorités », a t-il ajouté.
Développée en 2004 en Iraq pour aider à évaluer les déplacés internes, la DTM a été affinée et renforcée au fil des années d’utilisation sur le terrain en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie, et peut-être adaptée aux pays à la fois dans des situations de crise ou subissant des catastrophes naturelles. Elle est utilisée pour recueillir des données sur un large éventail de questions humanitaires, allant de l’eau et de l’assainissement, à la santé et à la nourriture, en passant par la protection et l’utilisation de sources d’informations fiables.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Paul Dillon, OIM Indonésie, Tel: +62 811 944 4612, Email: pdillon@iom.int