-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
L’OIM aide la République dominicaine à traiter les cas des travailleurs migrants temporaires
République dominicaine – Plus de 200 travailleurs migrants haïtiens ont reçu cette semaine des cartes d’identité pour travailleurs temporaires, délivrées par la Direction générale de la migration (DGM) de la République dominicaine, dans le cadre des efforts déployés pour améliorer la capacité du Gouvernement à traiter les cas des travailleurs migrants.
Ce groupe de migrants, auparavant vulnérables, pourra désormais traverser la frontière pour aller à Haïti et regagner la République dominicaine sans frais, et circuler librement à l’intérieur de la République dominicaine.
« Avec leurs employeurs, ce premier groupe de travailleurs migrants haïtiens a franchi un pas essentiel pour s’enregistrer comme travailleurs étrangers temporaires dans le système de sécurité sociale de la République Dominicaine. Dans ce groupe se trouvent les 146 premiers travailleurs migrants ayant obtenu un visa et ayant été admis dans le pays, le 6 janvier 2011 » a déclaré Cy Winter, Chef de mission de l’OIM dans la République dominicaine.
Pour que ces travailleurs puissent être au travail, le lundi matin, l’OIM et la Direction générale de la migration ont assuré dimanche leur transport depuis la frontière septentrionale du pays jusqu’à la capitale, Saint-Domingue, où ils ont reçu leur carte d’identité, étape finale de leur régularisation au sein de la main-d’œuvre dominicaine.
Un expert de l’OIM en matière de migration de main-d’œuvre a surveillé la procédure et établi des recommandations à l’intention des partenaires gouvernementaux.
Dans le cadre de ses activités dans la République Dominicaine, l’OIM a aussi dispensé une formation en matière de migration de main-d’œuvre aux fonctionnaires gouvernementaux et fourni un appui technique pour la mise en œuvre de la Réglementation de la migration de 2011.
Depuis la signature de la Réglementation de la migration, les homologues de l’OIM au Gouvernement de la République dominicaine se sont employés sans relâche à améliorer leur capacité à traiter les cas des travailleurs migrants.
Mais de nombreuses difficultés subsistent en ce qui concerne le renforcement de leur capacité à évaluer et à enregistrer les centaines de milliers de travailleurs migrants qui sont nécessaires pour soutenir l’économie de la République Dominicaine, et à établir des documents pour ces travailleurs, en particulier dans les secteurs de l’agriculture et de la construction.
« Ce processus nécessite de nouer des alliances entre institutions pour traiter la complexité de la migration de main-d’œuvre, en commençant par évaluer les besoins sectoriels de main-d’œuvre au niveau national, en associant l’enregistrement des données biométriques à un processus soutenu par une base de données électroniques et en établissant des contrôles de rapports en ligne, ainsi qu’en procédant aux ajustements essentiels des politiques et des procédures. Tout cela de concert avec un secteur privé qui a besoin de travailleurs et doit respecter des dates limites » a ajouté Winter.
La plupart des membres de ce premier groupe de migrants haïtiens sont des travailleurs agricoles, employés illégalement auparavant dans des plantations de bananes au nord du pays.
Le projet a bénéficié d’un financement du Fonds de l’OIM pour le développement, ainsi que des Gouvernements canadien et américain.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Alicia Sangro
OIM Saint-Domingue
Tél. :+ 809 689 2744
Courriel : asangro@iom.int