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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Les migrants fuyant la violence en Libye arrivent en Tunisie
Le personnel de l'OIM à la frontière tunisienne avec
la Libye rapporte que les migrants commencent à traverser la
frontière pour se rendre en Tunisie, en vue
d'échapper à la violence dans ce pays d'Afrique du
Nord et de retourner dans leurs pays d'origine.
Bien que la plupart des migrants arrivés soient d'origine
tunisienne, d'autres migrants de nationalités diverses
traversent la frontière vers le gouvernorat tunisien de
Médenine, et demandent de l'aide pour rentrer chez eux.
Un membre du personnel de l'OIM déclare que les
responsables du Croissant Rouge lui ont rapporté, à
lui et à un responsable du HCR, qu'en plus des quelques
milliers de Tunisiens de retour, des ressortissants libanais, turcs
et trois allemands étaient arrivés en demandant de
l'aide pour parvenir à destination.
Les autorités locales ont fourni aux migrants des moyens
de transport vers l'aéroport international de Djerba,
d'où il semblerait qu'ils aient pu décoller pour
rentrer dans leurs pays d'origine.
Compte tenu des nouvelles arrivées qui ont eu lieu
pendant la nuit par le poste frontière de Ben Guerdane, le
personnel de l'OIM a trouvé des hôtels à bas
prix pour les migrants de plusieurs nationalités, notamment
pour quatre Guinéens sollicitant une aide pour rentrer chez
eux, jusqu'à ce qu'une aide à leur voyage à
destination puisse être organisée.
Du personnel de l'OIM supplémentaire sera
déployé dans la zone frontalière aujourd'hui,
afin d'aider les migrants arrivant de Libye.
En attendant, plusieurs gouvernements ont demandé l'aide
de l'OIM pour l'évacuation de leurs ressortissants. Compte
tenu de la situation extrêmement difficile en Libye, l'OIM
cherche d'autres itinéraires pour les
évacuations.
La Libye, à la fois une destination longtemps
convoitée et un pays de transit en Afrique, compte environ
1,5 million de migrants irréguliers dans le pays seul. Bien
qu'un nombre considérable de ces migrants provienne
d'Egypte, de Tunisie, du Soudan, du Tchad, du Niger, d'Afrique de
l'Ouest et de la Corne de l'Afrique, d'autres migrants viennent
d'autres régions du monde, notamment d'Asie. Parmi eux des
Philippins, des Sri lankais, des Bangladeshis, des Pakistanais et
des Chinois.
Cependant, l'Organisation lance un appel aux donateurs pour
aider à financer l'aide humanitaire comme ils l'ont fait
dans le passé, notamment lors de la récente crise au
Liban en 2006, lorsque l'OIM avait évacué plus de 13
000 ressortissants de pays tiers vers leurs pays d'origine, dont le
Sri Lanka, les Philippines et l'Ethiopie.
Dans le même temps, 235 migrants tunisiens
supplémentaires sont arrivés sur l'île de
Lampedusa à bord de deux bateaux depuis la dernière
arrivée mardi matin.
Un bateau de pêche tunisien transportant 200 personnes est
arrivé tard dans la soirée malgré le temps et
les conditions de navigation déplorables. Trois femmes
accompagnées de leurs époux, dont deux enceintes
arrivant à terme, étaient à bord.
Le personnel de l'OIM déclare que les femmes
étaient en état de choc après le
périple extrêmement difficile et dangereux qu'elles
venaient juste d'endurer. Avec leurs maris, elles sont
logées dans le centre d'accueil de migrants du bureau de
l'OIM sur l'île.
La réunification des familles devient une des raisons
principales citées pour le départ des Tunisiens pour
l'Europe.
Un bateau de pêche italien, qui avait secouru 37 Tunisiens
en mer, a finalement réussi à accoster Lampedusa ce
matin, après plusieurs tentatives manquées en raison
du mauvais temps.
Le personnel de l'OIM affirme que si les migrants n'avaient pas
été secourus par le bateau de pêche italien,
ils auraient certainement péri en mer.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Jean Philippe Chauzy
OIM Genève
Tel: + 41 22 717 9361
+ 41 79 285 4366
E-mail:
"mailto:pchauzy@iom.int">pchauzy@iom.int
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Jemini Pandya
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