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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Le plan d'urgence se poursuit à l'approche du cyclone Tomas
L'OIM travaille en collaboration avec le gouvernement haïtien,
la mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti
(MINUSTAH) et les organismes humanitaires en vue d'intervenir face
au cyclone Tomas qui pourrait frapper le sud du pays cette semaine.
Des centaines de milliers d'Haïtiens et bon nombre du 1,3
million de déplacés internes sans abris depuis le
séisme du 12 janvier 2010 pourraient être
exposés au danger du cyclone.
Les besoins immédiats comprennent notamment des centaines
de milliers de bâches pour remplacer les abris
endommagés, de la corde, un grand nombre de tablettes de
purification d'eau, des sels de réhydratation orale ainsi
que des latrines, du savon et des couvertures. Les Haïtiens
ont également besoin de seaux, de torches et de petites
radios pour rester informés.
« Il est temps que la communauté internationale
agisse de manière urgente pour pouvoir satisfaire les
besoins essentiels des Haïtiens vulnérables », a
déclaré Luca Dall'Oglio, chef de mission de l'OIM en
Haïti.
L'Unité d'opérations de gestion des camps de l'OIM
se prépare à un possible scénario catastrophe
et a déjà déplacé 117 familles vivant
dans des tentes dans une zone du camp de Corail Cesselesse, dans
des abris temporaires construits par l'unité de construction
d'abris de l'OIM.
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target="" title="">Video: The Lull Before the Storm
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target="" title="">Video: Haiti's Perfect Storm
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L'opération de transfert a débuté dimanche
matin et a duré 5 heures. Elle a été
coordonnée par l'Agence de gestion des camps de l'American
Refugee Committe (ARC) à Corail et par la Police des Nations
Unies (UNPOL). L'unité d'abris de l'OIM a fourni une aide
logistique pendant que ses unités d'enregistrement
vérifiaient que toutes les personnes
transférées étaient bien enregistrées.
Elle s'assurait également du suivi depuis le départ
jusqu'à l'arrivée dans les abris temporaires.
Après le déplacement, les tentes utilisées
ont été pliées et stockées et les
équipes ont préparé le terrain pour la
construction de nouveaux abris temporaires dans les semaines
à venir. Ce déplacement vient conclure le relogement
d'un total de 228 familles dans des logements temporaires
installés par l'OIM. Lors du premier déplacement
effectué le 26 septembre, 111 familles vulnérables
avaient été transférées.
Cependant, pour la plupart des déplacés internes
et des personnes vivant dans les communautés
vulnérables aux inondations, il existe peu d'alternatives
décentes. La trajectoire prévue du cyclone Tomas
passe par Haïti et pourrait provoquer des vents allant
jusqu'à 160 km / heure. Ces vents pourraient être
accompagnés de pluies torrentielles qui ravageraient sans
doute les abris déjà fragiles des
déplacés internes. De nombreux camps sont
exposés aux risques de glissements de terrain et de
montée soudaine des crues si la tempête a lieu. Pour
ces camps, il serait plus prudent d'évacuer
immédiatement.
Bien que la plupart des camps de déplacés internes
soient situés à Port-au-Prince, la capitale, un
nombre important se trouve dans les villes côtières de
Jacmel et Les Cayes, particulièrement vulnérables aux
tempêtes tropicales.
Le cyclone Tomas arrive juste derrière
l'épidémie de choléra qui sévit en ce
moment alors qu'Haïti avait déjà du mal à
se relever 10 mois après le séisme
dévastateur. Le choléra continue de se propager au
sud en direction de la capitale, Port-au-Prince, alors que le
cyclone Tomas fait route vers les côtes haïtiennes.
Même si le cyclone Tomas ne fait que traverser Haïti,
il pourrait aggraver l'épidémie et sa propagation
à travers toute la zone métropolitaine de
Port-au-Prince où un tiers de la population demeure sans
abris et vit dans des camps.
Un danger bien plus grave persiste dans les bidonvilles
d'Haïti, comme Cité Soleil, où les
infrastructures sanitaires sont quasiment inexistantes. Les
conteneurs d'eau sont non traités et souvent situés
à quelques mètres des toilettes à
découvert.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Leonard Doyle
OIM Haïti Média et communications
Tél: +509 3702 5066
E-mail:
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