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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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- 2030 AGENDA
De retour chez eux, les rapatriés continuent d'être confrontés aux mauvaises conditions de vie
Une importante majorité des 1,9 million de
déplacés internes et réfugiés qui sont
retournés dans les provinces du Kordofan méridional
et du Sud Soudan depuis la signature de l'Accord Global de Paix en
janvier 2005, continuent de faire face à d'insurmontables
problèmes d'accès aux services et aux installations
de base, comme le montre le suivi des retours et les rapports
d'évaluation de l'OIM dans quatre villages publiés
aujourd'hui.
(en anglais seulement)
Les données pour le rapport global de suivi ont
été recueillies au cours des trois dernières
années par 1 400 membres
formés du personnel de la Commission de
Réhabilitation et de Soutien au Sud Soudan (SSRRC) et du
Comité pour la Réintégration et le Retour
Volontaire (VRRC).
Les rapports indiquent qu'environ 200 000 rapatriés ont
été contraints à un déplacement
secondaire car ils n'avaient pas accès aux infrastructures
et aux services de base indispensables, tels que l'eau potable, les
soins et l'éducation.
Selon le rapport, un tiers des communautés du Kordofan
méridional et du Sud soudan continuent d'utiliser les
rivières et les puits non-protégés comme
source d'eau principale. Dans les provinces d'Al Ouahdah et de Bahr
Al Ghazal septentrional, respectivement 77% et 68% des villages
n'ont pas accès à l'eau potable à cause de
pompes à main détériorées.
L'accès à des infrastructures sanitaires
satisfaisantes et à un personnel qualifié reste
extrêmement rare. Plus de 90% des villages dans les provinces
de Warab, Bahr Al Ghazal septentrional, Kordofan méridional
et Al Ouahdah n'ont accès à aucune installation
sanitaire quelle qu'elle soit. Quelques infrastructures
médicales de base ont été
répertoriées dans seulement 9% des villages du pays
et seulement 5% disposaient de médecins
qualifiés.
Le rapport montre également que près de 80% des
villages évalués dans les provinces de Warab, Bahr Al
Ghazal septentrional et Al Ouahdah n'ont pas d'accès direct
à l'éducation primaire et les quelques écoles
existantes sont simplement des installations de fortune en
extérieur.
« Le suivi des retours et les évaluations de l'OIM
fournissent des informations vitales concernant les
rapatriés et leurs communautés d'accueil »,
déclare Mario Tavolaj de l'OIM. « Quantifier les
tendances des retours et qualifier les besoins des rapatriés
aidera la communauté humanitaire à subvenir à
leurs besoins les plus urgents afin de garantir que tous les
retours soient durables. »
Le Programme de suivi des retours est financé par le
Fonds humanitaire commun des Nations Unies (UNCHF), le Service
d'Aide Humanitaire de la Commission Européenne (ECHO), le
Bureau américain d'aide en cas de catastrophe à
l'étranger (OFDA/USAID), le Programme Alimentaire Mondial et
le gouvernement norvégien.
Le Programme d'évaluation des villages a reçu le
soutien financier d'ECHO, de l'OFDA/USAID, du Fonds international
pour les réfugiés d'AusAID, du gouvernement japonais,
de l'UNCHF et du PNUD.
Le rapport est disponible en ligne sur le site
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Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Mayssa Alghribawy
OIM Khartoum
Tél. +249 183 570 801 à 804
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Ingeborg Zorn
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