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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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D’après l’OIM, les anciens réfugiés burundais ont toujours besoin d’aide à la réintégration
Burundi - D’après le profilage socioéconomique des familles effectué par l’OIM entre le 17 juin et le 24 août 2013, neuf mois après leur retour du camp de réfugiés de Mtabila à l’ouest de la Tanzanie, les anciens réfugiés burundais restent confrontés à des problèmes socioéconomiques qui entravent leur réintégration dans les communautés de retour.
Les nouvelles données révèlent des besoins urgents en termes de moyens d’existence, d’accès à la santé, à l’eau, à l’assainissement et à la nourriture, au sein des rapatriés burundais qui ont quitté le camp de réfugiés de Mtabila entre le 31 octobre et le 11 décembre 2012.
Bien que tous les anciens réfugiés soient de retour dans leurs communautés d’origine respectives, leurs maisons et leurs moyens d’existence ont été détruits pendant la guerre civile. En effet, pour la plupart, après plus de 15 années passées en Tanzanie, les familles ont trouvé leurs maisons détruites à leur retour.
Avec le financement du Département de l’aide humanitaire et de la protection civile (ECHO) de la Commission européenne, l’OIM travaille avec les rapatriés pour construire 2 000 abris pour un nombre correspondant de familles rapatriées. « Cette opération représente beaucoup, en particulier pendant cette saison extrêmement humide. Les abris sont essentiels car même s’ils ne les protègent pas des grosses intempéries, ils les protègent des personnes mal intentionnées », déclare Alex Gachara, chef de Nyabutare, dans la province de Makamba, au sud du Burundi.
L’OIM aide en outre les rapatriés de 500 familles trouver des moyens de subsister. Le chef Gachara pense toutefois que beaucoup reste à faire pour stabiliser les moyens d’existence des rapatriés. « Des habitants sont morts de causes qui pourraient être évitées, comme la malaria. Ceux qui sont rentrés du camp de Mtabila ont du mal à accéder à la nourriture », ajoute M. Gachara.
Les bénéficiaires ont entrepris des activités de production de moyens d’existence, notamment en boulangerie, en production d’huile de palme, en transformation du manioc, en coiffure et en charpente. En plus de l’aide à la construction d’abris et à la production de moyens d’existence, l’OIM a conçu une opération de renforcement de capacités pour les bénéficiaires. Ils apprendront à gérer les entreprises et associations qu’ils ont créées.
La majorité des rapatriés ont été réintégrés dans leur région d’origine mais sont confrontés à la destruction issue de la guerre civile au Burundi. Les cinq provinces comptant le plus de rapatriés sont celles de Makamba, Rutana, Ruyigi, Gitega et Karusi.
Pour plus d’informations, veuillez contacter
Norberto Celestino
OIM Burundi
Tel: +25777836179
Email: ncelestino@iom.int