-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Arrivées de migrants en Europe par la Méditerranée : plus de 71 000 ; décès en mer : 1 650
Suisse - D’après l’OIM, l’organisme des Nations Unies chargé des migrations, au 31 mai 2017, 71 029 migrants et réfugiés sont arrivés en Europe par la mer. Plus de 80 pourcent sont arrivés en Italie et le reste est réparti entre la Grèce, Chypre et l’Espagne. Au 31 mai 2016, ils étaient 205 858. Le nombre de décès s’élevait lui à 2 512 à travers la région au 31 mai 2016.
Depuis les dernières actualités de l’OIM concernant la Méditerranée (30 mai), 1 271 migrants secourus ont été amenés en Italie.
Dans le même temps, d’après certaines informations, jusqu’à 40 migrants seraient morts de soif au nord du Niger lorsque leur véhicule est tombé en panne lors d’une tentative d’atteindre l’Europe via la Libye.
Des responsables nigériens ont déclaré que six bébés et des femmes faisaient partie des 44 migrants retrouvés morts. Des détails du tragique incident ont été fournis par six rescapés qui ont marché jusqu’à un village isolé où ils ont confié que leurs compagnons de route, principalement originaires du Ghana et du Nigéria, étaient morts de soif. Les décès ont ensuite été confirmés par le maire d’Agadez, une ville isolée aux portes du Sahara.
Giuseppe Loprete, chef de mission de l’OIM au Niger, a déclaré que cette dernière tragédie lui rappelait malheureusement que les migrants étaient probablement plus nombreux à mourir dans le désert du Sahara que dans la Méditerranée, mais qu’à cause de la nature inhospitalière de la région, il était quasiment impossible d’en connaître le nombre exact.
Les six rescapés, une femme nigériane et cinq hommes ghanéens, ont été amenés au centre de transit de l’OIM à Dirkou. Les autorités locales recherchent toujours des survivants et le personnel de l’OIM travaille actuellement en vue d’identifier les corps et d’enterrer les défunts.
« Les rescapés seront ensuite transportés au centre de transit de l’OIM à Agadez où ils recevront une aide médicale, psychologique et une protection. Dès qu’ils seront prêts, nous les aiderons à rentrer dans leurs pays d’origine », a déclaré Giuseppe Loprete.
Et d’ajouter : « les migrants sont souvent dupés et trompés en route vers l’Europe. Les passeurs s’enfuient avec leur argent et ils se retrouvent au milieu de nulle part, dans un pays qu’ils ne connaissent pas, tentant de gagner assez d’argent soit pour continuer leur chemin, soit pour rentrer chez eux. Dans le désert, ils sont souvent abandonnés par les chauffeurs et restent bloqués pendant des jours entiers sous le soleil de plomb du désert sans nourriture, ni eau, ni ombre. »
Il a ajouté que la plupart des migrants d’Afrique de l’Ouest quittaient leur pays d’origine en raison des opportunités économiques limitées et qu’ils rêvaient d’un avenir meilleur en Europe. Chaque semaine, des milliers de migrants sont entassés dans des camions pour un périple de plusieurs jours, avec souvent juste assez d’espace pour transporter quelques litres d’eau, pour tenter de traverser le désert du Sahara, l’un des endroits les plus inhospitaliers et meurtriers de la planète.
A travers le monde, le projet de l’OIM sur les migrants disparus (MMP) fait état de 2 300 décès de migrants au 31 mai (voir tableau ci-dessous). La région méditerranéenne représente la plus grande proportion de décès, soit environ les deux tiers du total dans le monde.
Dernière infographie mise à jour dans la Méditerranée : http://migration.iom.int/docs/MMP/010617_Mediterranean_Update.pdf
Pour consulter les dernières données sur les arrivées et les décès de migrants en Méditerranée, veuillez-vous rendre sur : http://migration.iom.int/europe
Pour en savoir plus sur le Projet sur les migrants disparus : http://missingmigrants.iom.int
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Joel Millman, OIM Genève, Tel : +41.79.103-8720, Email : jmillman@iom.int
Flavio Di Giacomo, OIM Italie, Tel : +39 347 089 8996, Email : fdigiacomo@iom.int
Kelly Namia, OIM Grèce, Tel : +30 210 9919040, +30 210 9912174, Email : knamia@iom.int
Julia Black, OIM GMDAC à Berlin, Tel : +49 30 278 778 27, Email : jblack@iom.int
Christine Petré, OIM Libye Tel. (Direct) : +216 29 240 448, Email : chpetre@iom.int