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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Devant l'intensification des combats en Libye, les responsables du HCR et de l'OIM appellent à la continuation de l'élan humanitaire
Après deux jours de visite en Tunisie, les responsables de
Haut commissariat des Nations Unies aux réfugiés et
l'Organisation internationale pour les migrations (OIM). appellent
la communauté internationale à continuer
l'élan humanitaire face à l'afflux de milliers de
personnes fuyant la Libye.
Le Haut Commissaire aux réfugiés, Antonio Guterres
et le directeur général de l'OIM, William Swing
affirment que l'initiative conjointe OIM et HCR d'évacuation
humanitaire a considérablement soulagé la
frontière, suite à la réponse favorble des
gouvernements pour assurer le transport aérien. En effet,
des dizaines de milliers d'Egyptiens ont été
rapatriés.
«Notre objectif immédiat est de s'assurer que tout
le monde soit évacué et rapatrié" a dit M.
Swing, soulignant la nécessité d'augmenter
sensiblement le nombre de vols d'évacuation, en particulier
sur le Bangladesh. Cela, souligne-t-il, nécessitera un
important soutien international.
"Une frontière ouverte est la chose la plus
précieuse que vous pouvez avoir lors d'une crise de
réfugiés", a dit M. Guterres. "Malgré la
situation actuelle de la Tunisie, le gouvernement tunisien et son
peuple ont fait preuve de générosité
humanitaire modèle et ce, en ouvrant leurs frontières
et leurs maisons." M. Guterres et M. Swing appellent la
communauté internationale à faire de même.
M. Swing et M. Guterres ont rencontré, aujourd'hui
à Tunis, le Président de la République par
intérim, le Premier ministre et un certain nombre de hauts
fonctionnaires du gouvernement. Les responsables du HCR et de l'OIM
se sont félicités de "la remarquable
générosité du peuple et du gouvernement
tunisiens envers les migrants qui ont fui la Libye".
Lors d'une visite d'une journée à la
frontière de Ras Jedir et au camp de transit du HCR à
Choucha où 15.000 personnes, principalement des Bengalis,
attendent d'être évacués. M. Swing et M.
Guterres, ont également rendu hommage aux efforts
déployés par le gouvernement tunisien, la
société civile, le Croissant-rouge tunisien et les
organisations internationales afin de permettre l'évacuation
humanitaire des personnes vers leur pays d'origine.
Les deux chefs d'agences onusiennes préviennent de l'impact
de l'escalade du conflit en Libye sur la situation dans les
zones frontalières. L'afflux des personnes fuyant la Libye
atteignait les 14.000 en une seule journée. Le HCR et l'OIM,
en collaboration avec la communauté humanitaire, ont
renforcé les opérations de secours d'urgence visant
à faire face à un afflux massif de personnes qui
fuient la Libye.
Le HCR porte un intérêt particulier au nombre
croissant des personnes franchissant la frontière,
originaires de pays déchirés par la guerre comme la
Somalie, lesquels ne peuvent pas être rapatriés vers
leur pays respectif. M. Guterres lance un appel aux pays
développés pour travailler en étroite
collaboration avec le HCR afin de surmonter cette
situation.
L'OIM et le HCR continueront à soutenir le peuple et le
gouvernement tunisiens pour faire face à l'afflux de
personnes fuyant la situation tragique qui prévaut en
Libye.