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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Renforcement de la capacité du Gouvernement du Costa Rica à promouvoir la protection des femmes, des adolescentes et des filles migrantes (y compris celles dont l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expressi
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Date de début
2023
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Date de fin
2025
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Statut du projet
Actif
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Type de projet
Protection et assistance aux migrants vulnérables
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Budget Amount (USD)
300000.00
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Couverture
National
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Année
2023
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IDF Region
Amérique latine et Caraïbes
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Prima ID
CR10P0548
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Projet ID
PX.0422
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Costa Rica
Le Costa Rica est un pays d’origine, de destination et de transit clé pour les migrants de la région. En fonction de leur identité de genre, les migrants font face à des défis, à des vulnérabilités, à des besoins et à des risques particuliers. Compte tenu du large éventail de facteurs de risque en matière de protection auxquels sont exposées les différentes populations migrantes au Costa Rica, en particulier les femmes, les adolescentes et les filles (y compris celles dont l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expression du genre ou les caractéristiques sexuelles sont diverses), il est fondamental que toute mesure visant à prévenir ou à combattre efficacement la violence fondée sur le genre tienne compte de ces populations et s’emploie activement à répondre aux besoins de celles-ci. En octobre 2022, le Gouvernement du Costa Rica a lancé sa stratégie nationale de lutte contre le harcèlement et les atteintes sexuels à l’égard des femmes. Cette stratégie, qui est également appelée Plan national relatif aux questions de genre, comprend un volet communication, un mécanisme de première intervention et un cadre juridique. En outre, l’Institut national des femmes (INAMU) du Costa Rica crée, au sein des communautés du pays, des centres de ressources baptisés « Points violets », dont la mission consiste à offrir un soutien aux femmes en situation de crise et à les aider à signaler les cas de mauvais traitement ou de harcèlement. Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un effort plus vaste visant à améliorer l’accès aux ressources de l’Institut en dehors de la grande région métropolitaine de San José. À l’heure actuelle, cette initiative ne tient pas compte des besoins des femmes migrantes, y compris les femmes dont l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expression du genre ou les caractéristiques sexuelles sont diverses. L’INAMU a toutefois fait savoir qu’il souhaitait faire en sorte que ses services soient adaptés aux besoins des populations migrantes.
Pour répondre à ce besoin, ce projet entend contribuer à la protection des femmes, des adolescentes et des filles migrantes (y compris celles dont l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expression du genre ou les caractéristiques sexuelles sont diverses), en particulier celles qui ont survécu à des actes de violence fondée sur le genre, au Costa Rica. Pour atteindre cet objectif, les mécanismes de signalement et d’orientation prévus au titre du Plan national relatif aux questions de genre seront adaptés et renforcés (produit 1.1) ; un outil de communication visant à promouvoir un discours communautaire positif et à sensibiliser les migrants aux outils de signalement et d’assistance à leur disposition sera élaboré (produit 1.2) ; et des activités de renforcement des capacités seront menées sous la forme de programmes de formation de formateurs et d’ateliers sur le renforcement des mécanismes d’orientation et la protection des femmes, des adolescentes et des filles migrantes (y compris celles dont l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expression du genre ou les caractéristiques sexuelles sont diverses), en particulier celles qui ont survécu à des actes de violence fondée sur le genre (produit 1.3). Grâce à ces interventions, les agents de l’INAMU devraient être mieux à même de prévenir et de combattre les actes de violence fondée sur le genre visant des femmes, des adolescentes et des filles migrantes (y compris celles dont l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expression du genre ou les caractéristiques sexuelles sont diverses).