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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
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- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Promotion de la cohésion sociale à Cobija, Teoponte et Cachuela Esperanza (État plurinational de Bolivie), conformément au concept du « Bien vivre »
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Date de début
2023
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Date de fin
2025
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Statut du projet
Actif
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Type de projet
Intégration et cohésion sociale
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Budget Amount (USD)
100000.00
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Couverture
National
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Année
2023
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IDF Region
Amérique latine et Caraïbes
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Prima ID
BO10P0519
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Projet ID
IS.0131
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Bolivie (État plurinational de)
La Bolivie connaît des niveaux élevés de migration et de déplacements internes qui ont des répercussions sur les dynamiques démographique, économique, sociale et culturelle des communautés aussi bien d’origine que de destination. En raison de la complexité des flux migratoires et de l’hétérogénéité des groupes de migrants, des difficultés se posent en matière d’élaboration et de mise en œuvre de politiques destinées à favoriser l’inclusion des migrants et des personnes déplacées, à promouvoir la cohésion sociale et à faciliter la contribution de ces personnes au développement durable conformément au concept du « Bien vivre ». Le « Bien vivre » est une philosophie promue par le Gouvernement de l’État plurinational de Bolivie (inscrite dans la Constitution du pays), consistant à assurer l’égalité, la justice, la complémentarité et la répartition équitable des ressources, tout en défendant la nature et en protégeant la planète. Le Gouvernement juge prioritaire de faire reposer ses politiques et programmes sur ce concept, qui constitue d’ailleurs le socle du Plan de développement économique et social pour 2021-2025. Il est par conséquent essentiel d’inscrire le projet dans cette optique du « Bien vivre », ce qui favorisera la durabilité de l’intervention.
Dans ce contexte et en étroite coordination avec la vice-présidence de l’État plurinational de Bolivie (par l’intermédiaire de la Direction générale de la géopolitique du bien vivre et des affaires étrangères), ce projet aidera les migrants, les personnes déplacées et les communautés de Cobija, Teoponte et Cachuela Esperanza à vivre dans des territoires multiculturels plus inclusifs et à contribuer au développement durable, conformément au concept du « Bien vivre ». Pour parvenir à cet objectif, des tables rondes et des études de cas faisant intervenir des autorités nationales et locales et des représentants de divers groupes communautaires clés seront menées. Des formations seront par ailleurs dispensées sur les thèmes des atouts bioculturels existants, des flux migratoires et des défis et possibilités en matière de cohésion sociale. En outre, en étroite concertation avec les autorités municipales, des ateliers seront organisés pour permettre aux membres des communautés, aux migrants et aux personnes déplacées d’apporter leur pierre à l’édifice du « Bien vivre ». Ainsi, les autorités locales et les communautés de Cobija, Teoponte et Cachuela Esperanza seront en mesure de promouvoir l’inclusion des migrants et des personnes déplacées dans les questions touchant à la vie de la communauté et de renforcer la cohésion sociale entre les divers groupes ruraux et urbains, ainsi qu’avec les autochtones, conformément au concept du « Bien vivre ».