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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Renforcement des mesures de lutte contre la traite en Papouasie-Nouvelle-Guinée
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Date de début
2023
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Date de fin
2025
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Statut du projet
Actif
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Type de projet
Protection et assistance aux migrants vulnérables
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Budget Amount (USD)
300000.00
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Couverture
National
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Année
2022
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IDF Region
Asie et Océanie
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Prima ID
PG20P0527
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Projet ID
PX.0345
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Papouasie-Nouvelle-Guinée
Dans le Pacifique, les femmes et les filles sont tout particulièrement touchées par une augmentation des cas d’exploitation sexuelle à des fins commerciales, de mariages forcés et de mariages d’enfants, ainsi que d’abandons conjugaux. En Papouasie-Nouvelle-Guinée, le cadre juridique et réglementaire actuel n’est pas conforme aux normes internationales pour la protection des droits de l’homme des victimes de la traite, réelles et potentielles, et d’autres groupes vulnérables tels que les travailleurs migrants et les membres de leur famille et les migrants irréguliers. En particulier, le pays n’est pas partie à la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée ni au Protocole visant à prévenir, réprimer et punir la traite des personnes, en particulier des femmes et des enfants, ce qui entrave la détection des cas de traite et l’identification des besoins de protection des victimes, réelles et potentielles. L’adhésion à la Convention et au Protocole aiderait par conséquent la Papouasie-Nouvelle-Guinée à mettre en place un système de riposte professionnel et efficace, et jetterait les bases d’un cadre juridique global permettant de lutter contre le problème de la traite des personnes.
Le projet proposé vise, par son caractère multidimensionnel, et notamment par ses composantes d’aide technique et de développement des capacités, à appuyer les efforts déployés par le Gouvernement pour mieux préparer l’adhésion à la Convention et au Protocole. Deux processus parallèles permettront d’y parvenir. Premièrement, un cadre législatif global sera élaboré, en considération des exigences de la Convention et du Protocole, et sera assorti de recommandations. Ce processus visera à renforcer les connaissances et les capacités permettant de faire face au problème de la traite des personnes dans le respect de normes universelles. Deuxièmement, les fonctionnaires de la justice, du ministère public et des forces de l’ordre seront formés afin qu’ils puissent détecter les cas de traite, y répondre et en poursuivre les auteurs, ce qui permettra d’améliorer l’identification et la protection des victimes, réelles et potentielles, conformément aux dispositions de la Convention et du Protocole.