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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Élaboration d’un système d’information efficace au sein du service des gardes frontière du Bélarus
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Date de début
2019
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Date de fin
2022
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Immigration et frontières
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Budget Amount (USD)
200000.00
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Couverture
National
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Année
2019
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IDF Region
Europe
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Prima ID
BY10P0501
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Projet ID
IB.0117
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Bélarus
L’afflux massif de migrants et de réfugiés dans l’Union européenne en 2015-2016 a donné lieu à un durcissement des mesures de sécurité aux frontières et de gestion des migrations au Bélarus. Ces mesures doivent être assorties, en contrepartie, d’une communication plus ouverte et plus active à destination du public, afin de diffuser un discours positif sur la migration dans le pays.
Le Comité national des gardes frontière de la République du Bélarus est le principal organisme chargé de la gestion des frontières nationales. Il gère également les relations avec le public, mène des campagnes d’information et des initiatives de sensibilisation sur des questions touchant à la gestion des frontières, rend compte de la situation aux frontières, y compris la présence de migrants irréguliers. Son service de presse est considéré comme la principale source d’informations – et la plus crédible – pour les médias, qui le citent et se réfèrent souvent à ses déclarations ainsi qu’aux actualités publiées sur son site Web, de sorte que c’est lui qui détermine la tonalité générale du discours sur la migration.
Dans ce contexte, le Comité a besoin de renforcer son système de relations publiques, de veiller à la cohérence de son message et de sensibiliser les médias, la population générale et les migrants. Faute d’en avoir les moyens, il est insuffisamment armé pour faire pièce au discours négatif sur la migration, qui risque de contribuer à une représentation inexacte des migrants, à leur stigmatisation, à leur exclusion sociale et à des discriminations à leur encontre. Dans le même temps, l’amélioration des capacités de communication externe du Comité n’est possible que si la culture de communication institutionnelle interne est également renforcée dans l’ensemble de l’organisme.
Le projet vise à renforcer les capacités du Comité en matière de relations publiques à tous les niveaux, par un renforcement des politiques et mécanismes de communication internes et externes et par une prise en considération des droits de l’homme et des sexospécificités dans les produits et outils de communication du Comité. À cet effet, une série de manifestations de renforcement des capacités seront organisées, une application mobile sera élaborée, et une formation en ligne sur les relations publiques sera proposée au service de presse du Comité et à d’autres agents des services des gardes frontière, parallèlement à une amélioration de la culture de communication institutionnelle en général. Le projet renforcera les capacités de tout le personnel du Comité, contribuant ainsi à une meilleure efficacité opérationnelle au sein de l’organisme.