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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Évaluation des effets de la COVID-19 sur les flux migratoires mixtes : traite des personnes, trafic illicite de migrants et risques connexes en matière de protection au Malawi, au Mozambique et au Zimbabwe
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Date de début
2021
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Date de fin
2023
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Statut du projet
Actif
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Type de projet
Recherche et publications en matière migratoire
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Budget Amount (USD)
400000.00
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Couverture
Regional
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Année
2020
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IDF Region
Afrique
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Prima ID
MW10P0512
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Projet ID
PR.0259
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Malawi Mozambique Zimbabwe
Malgré les restrictions de la mobilité sans précédent introduites par les gouvernements de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) pour réduire la propagation de la pandémie de nouveau coronavirus (COVID-19), la mobilité humaine n’a pas cessé, s’enfonçant, bien plutôt, toujours plus dans la clandestinité, étant donné que les effets de la COVID-19 dans la région et à l’échelle du continent africain pousseront sans doute les populations à chercher des perspectives meilleures à l’étranger. Comme l’a signalé INTERPOL dans un rapport publié en juin 2020, le trafic illicite de migrants par terre et par mer se poursuit, notamment de la Corne de l’Afrique vers l’Afrique du Sud. Si les restrictions de voyage adoptées pour faire face à la COVID-19 ont influé sur la capacité des groupes criminels organisés et des passeurs et trafiquants d’êtres humains, ceux-ci s’adaptent avec rapidité afin d’exploiter les populations vulnérables et les lacunes en matière de contrôle aux frontières. En particulier, la route du Sud qui relie l’Afrique de l’Est et la Corne de l’Afrique à l’Afrique australe et qui traverse, entre autres pays de transit majeurs, le Malawi, le Mozambique et le Zimbabwe, a gagné en importance sous l’angle du trafic illicite.
L’absence d’études limite l’élaboration de politiques fondées sur des éléments factuels et l’efficacité des mesures opérationnelles de lutte contre le trafic illicite et la traite, qui protègent les migrants et constituent des mesures de répression appropriées. Cette intervention a pour objectif de contribuer au renforcement des mesures de protection et de lutte contre la traite des personnes et le trafic illicite de migrants à l’échelle nationale, ce qui consiste à étudier notamment les incidences particulières sur les femmes, les enfants et les jeunes, les changements de route, les parties prenantes, le mode opératoire, ainsi que les besoins et les vulnérabilités des populations de migrants.