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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Renforcement de la base de connaissances sur les dynamiques de cohésion communautaire et de mobilité dans le contexte du changement climatique et de la dégradation de l’environnement au moyen d’études de cas men&
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Date de début
2022
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Date de fin
2023
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Environnement et changement climatique
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Budget Amount (USD)
100000.00
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Couverture
Regional
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Année
2021
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IDF Region
Afrique
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Prima ID
EG99P0514
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Projet ID
NC.0073
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Libye Soudan
La région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord sera, selon les prévisions, l’une des régions les plus durement touchées par les effets évolutifs du changement climatique dans le monde. Elle connaît de longue date des conditions climatiques extrêmes caractérisées, entre autres, par des précipitations faibles, des pénuries d’eau, des inondations fréquentes, des températures extrêmes et des sécheresses. Dans ce contexte, les phénomènes climatiques extrêmes devraient gagner à la fois en ampleur et en fréquence dans l’ensemble de la région. La migration est l’une des stratégies auxquelles les ménages ont recours pour faire face et s’adapter aux changements climatiques et environnementaux.
Parallèlement, la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord est l’une des régions du monde les plus fragiles et les plus touchées par les conflits. Dans ces conditions, le changement climatique peut être un multiplicateur de menaces pour des communautés déjà vulnérables. C’est pourquoi il est fondamental, pour la région, de comprendre les corrélations entre le changement climatique et la dégradation de l’environnement, la sécurité humaine, la fragilité, la violence et les conflits, ainsi que les incidences de ces corrélations sur la dynamique de la mobilité. Or, on manque de données empiriques sur la nature et l’étendue des liens entre le changement climatique, la dégradation de l’environnement et la cohésion communautaire ou les modifications des schémas ou décisions de mobilité. À l’appui des efforts déployés pour combler cette lacune, le projet vise à renforcer la base d’éléments factuels sur la façon dont le changement climatique et la dégradation de l’environnement influent sur les relations sociales au niveau communautaire et sur les décisions en matière de mobilité. Il adoptera une perspective régionale, mais l’étude et les efforts de collecte de données primaires seront centrés sur certaines régions de la Libye et du Soudan. Il permettra d’éclairer les politiques et les programmes qui soutiennent les efforts de renforcement de la résilience et d’adaptation des communautés, tout en appuyant la conception de politiques et d’interventions efficaces.
Les principaux produits du projet seront les suivants : des documents de recherche étudient les effets du changement climatique et de la dégradation de l’environnement sur la cohésion communautaire et la dynamique de la mobilité ; et des acteurs clés ont une meilleure compréhension des liens entre le changement climatique et la dégradation de l’environnement, la sécurité humaine, la dynamique de cohésion communautaire et les schémas et décisions de mobilité, et peuvent accéder à des données et des informations qui éclairent leurs réponses politiques et programmatiques.