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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- 2030 AGENDA
Préservation des droits des travailleurs migrants dans les zones économiques spéciales, en veillant à ce que les chaînes d’approvisionnement soient exemptes d’exploitation : Viet Nam, Cambodge et République démocratique populaire lao
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Date de fin
2024
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Lutte contre la traite
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Budget Amount (USD)
300000.00
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Couverture
Regional
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IDF Region
Asie et Océanie
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Prima ID
VN10P0003
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Projet ID
CT.0921
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Viet Nam Cambodge
Les chaînes d’approvisionnement mondiales des divers secteurs manufacturiers sont complexes et font intervenir toutes sortes d’acteurs travaillant sur une multitude de sites, ainsi que des marchandises et des travailleurs qui franchissent de nombreuses frontières. Dans ce contexte, les informations faisant état d’atteintes aux droits de l’homme, telles que la traite d’êtres humains aux fins de travail forcé et d’autres formes d’exploitation par le travail, ont soulevé des inquiétudes quant au coût social de ce secteur, et ont contraint les acteurs économiques à modifier leurs méthodes de production. Une pression croissante s’exerce sur les fournisseurs pour qu’ils veillent à la protection des droits du travail des migrants et des droits humains de ces derniers, quel que soit leur sexe.
Ce projet a pour objectif principal de contribuer à faire reculer les pratiques de recrutement de migrants relevant de l’exploitation au sein des chaînes d’approvisionnement en main-d’œuvre dans les zones économiques spéciales du Cambodge, de la République démocratique populaire lao et du Viet Nam. Il vise à donner aux entreprises les moyens de mieux comprendre et de dûment relever les défis complexes en matière de droits de l’homme et de droit du travail que posent des pratiques de recrutement contraires à l’éthique dans leurs chaînes d’approvisionnement et, grâce à l’adoption de pratiques éthiques, à amener des entreprises de taille moyenne et des multinationales, ainsi que leurs fournisseurs et le secteur du recrutement, à modifier leurs pratiques de recrutement.
A cette fin, le projet propose deux ensembles d’effets directs interconnectés, destinés à deux secteurs commerciaux spécifiques implantés dans des zones économiques spéciales où le taux de recrutement de travailleuses migrantes est élevé :
• Faire mieux comprendre aux milieux économiques que les principes de responsabilité sociale des entreprises relatifs au recrutement éthique constituent un « bon investissement » ;
• Renforcer la capacité des milieux économiques à adopter des pratiques de recrutement éthiques.