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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
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- Structure organisationnelle
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- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Phase 1 – Renforcement des capacités permettant au Gouvernement de Djibouti d’améliorer la collecte et l’analyse des données et statistiques sur la migration en vue d’élaborer un profil migratoire à Djibouti
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Date de fin
2024
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Recherche et publications en matière migratoire
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Budget Amount (USD)
100000.00
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Couverture
National
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IDF Region
Afrique
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Prima ID
DJ10P0002
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Projet ID
PR.0197
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Djibouti
Djibouti se trouve depuis toujours sur la route migratoire reliant l’Afrique à l’Eurasie. Cependant, l’ampleur des flux a nettement augmenté depuis 2009. Aujourd’hui, Djibouti est un important pays de transit pour des milliers de migrants irréguliers, de demandeurs d’asile et de migrants victimes de la traite et du trafic illicite qui tentent de se rendre dans la péninsule arabique. Dans le contexte du Processus de Khartoum, le Gouvernement de Djibouti s’est engagé à prendre des mesures concrètes pour améliorer la gestion de la migration régulière, prendre en main la mobilité interrégionale et lutter contre la migration irrégulière, ainsi que pour réduire toutes les formes de risques liés à la migration non régulée. Or, l’une des difficultés principales auxquelles il se heurte tient à l’absence de gestion des données dans le domaine de la migration. Diverses entités sont associées à la collecte et à l’analyse des données, et un comité interministériel sur la migration a été créé. Cependant, il est nécessaire de mettre en place un processus de collecte et d’analyse des stocks et des flux de données dans le pays. Les données concernant la migration irrégulière remontent au recensement de 2009.
Le projet vise à renforcer les capacités permettant aux autorités nationales et aux parties prenantes s’occupant de questions de migration de prendre des décisions en matière de gestion des migrations, notamment pour : i) recueillir, analyser et regrouper avec plus d’efficacité les données sur les flux et les stocks migratoires concernant toutes les catégories de migrants, grâce à une évaluation détaillée des données ; et ii) renforcer les capacités de la police des frontières de Djibouti et d’autres institutions nationales en matière de collecte et d’analyse des données sur la migration. Ces mesures contribueront à la publication régulière de statistiques sur la migration et à l’élaboration d’un profil migratoire dans la phase 2.