-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Myanmar : Renforcement de la protection des migrants dans les chaînes d’approvisionnement en main d’œuvre intérieures et internationales
-
Date de fin
2024
-
Statut du projet
Achevé
-
Type de projet
Protection et assistance aux migrants vulnérables
-
Budget Amount (USD)
200000.00
-
Couverture
National
-
IDF Region
Asie et Océanie
-
Prima ID
MM10P0004
-
Projet ID
PX.0028
-
Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Myanmar
Selon le recensement de 2014, plus de 2 millions de ressortissants du Myanmar travaillent à l’étranger, principalement en Thaïlande, en Malaisie, en République de Corée et en Chine. De nombreux travailleurs migrent par des voies irrégulières et restent non enregistrés et dépourvus de documents, s’exposant ainsi à des risques de maltraitance, d’extorsion et d’exploitation. Il est de la plus haute importance de bien gérer les processus bilatéraux, extrêmement complexes, ainsi que les procédures administratives connexes – qui doivent être régulièrement adaptées à des réglementations gouvernementales et à des flux migratoires en constante évolution −, ce qui nécessite d’investir en permanence dans le renforcement des capacités gouvernementales non seulement au Myanmar, mais aussi dans les pays de destination de la région.
Ce projet a pour objectif de contribuer à la réduction de la maltraitance, de l’extorsion et de l’exploitation dont sont victimes les migrants du Myanmar dans des pays de destination comme la Thaïlande, la Malaisie, la Chine et la République de Corée. À l’appui de cet objectif, le projet doit déboucher sur les effets directs suivants :
• « Le Ministère du travail, de l’immigration et de la population, le Ministère des affaires étrangères et le Ministère de la protection sociale, des secours et de la réinstallation appliquent systématiquement des politiques orientées vers la protection et adaptées en fonction du sexe à l’appui des travailleurs migrants du Myanmar » (effet direct 1). Les principales activités menées à cet effet consistent à formuler des lignes directrices orientées vers la protection et adaptées en fonction du sexe à l’appui de l’élaboration de futurs accords bilatéraux sur la main d’œuvre du Myanmar et de la rédaction de nouvelles informations à donner avant le départ.
• « Le personnel diplomatique du Myanmar, et notamment les agents consulaires, les attachés du travail et les conseillers des centres de documentation pour migrants, répondent systématiquement et avec efficacité aux problèmes de protection, aux plaintes et aux demandes d’aide des travailleurs migrants de l’étranger, y compris les victimes de la traite d’êtres humains et des formes connexes d’exploitation et de maltraitance » (effet direct 2). A cet effet, les principales activités consisteront à passer en revue les pratiques existantes suivies par le personnel diplomatique du Myanmar et les conseillers des centres de documentation pour migrants, ainsi qu’à élaborer à leur intention des lignes directrices opérationnelles orientées vers la protection et adaptées en fonction du sexe et à assurer un mentorat dans ce cadre.