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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
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- Où travaillons-nous
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Agir
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Travailler avec nous
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Engagez-vous
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Appui au programme national de lutte contre la traite en Argentine
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Date de fin
2024
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Statut du projet
Achevé
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Type de projet
Protection et assistance aux migrants vulnérables
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Budget Amount (USD)
150000.00
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Couverture
National
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IDF Region
Amérique latine et Caraïbes
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Prima ID
AR10P0003
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Projet ID
PX.0035
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Etat(s) membre(s) beneficiaires remplissant les conditions requises
Argentine
En 2012, le Gouvernement de l’Argentine a intensifié ses efforts de lutte contre la traite des personnes et le trafic illicite de migrants par la mise en application de la loi 28.842. D’autres efforts s’imposent toutefois pour prévenir la traite d’êtres humains et engager la responsabilité pénale des trafiquants.
A cet égard, le projet vise à permettre au Gouvernement d’être mieux armé pour prévenir ce crime et en poursuivre les auteurs, ainsi que pour renforcer l’aide aux victimes.
Le projet s’efforcera d’atteindre les trois effets directs suivants :
1) Les forces de sécurité provinciales ont une meilleure connaissance des crimes liés à la traite d’êtres humains et enregistrent les données dans une base d’informations fédérale sur le crime de traite d’êtres humains (SISTRATA) ;
2) Le Ministère du développement social (SENNAF), chargé d’identifier les victimes et de leur porter assistance, télécharge et systématise des données qualitatives et quantitatives, optimisant ainsi la mise en œuvre du protocole de 2008 concernant les victimes de la traite d’êtres humains ;
3) Les services du Ministère public chargés de la traite des personnes (PROTEX) mettent en œuvre une procédure de poursuites qui établit une distinction entre la traite et le trafic illicite d’êtres humains, sur la base d’un projet pilote conçu dans le cadre de ce projet dans la région du Nord-Ouest de l’Argentine.