-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Déclaration du Directeur général de l'OIM sur l'interdiction faite aux femmes afghanes de travailler pour les Nations Unies
Genève / Kaboul – L'Organisation internationale pour les migrations condamne fermement l'interdiction faite aux femmes afghanes de travailler pour les Nations Unies en Afghanistan par les autorités de facto du pays.
Au cours de l'année écoulée, les femmes et les filles d'Afghanistan ont été soumises à des ordonnances de plus en plus restrictives limitant leur participation à tous les aspects de la vie sociale, économique et politique.
Le 24 décembre 2022, par exemple, les autorités de facto ont interdit aux femmes afghanes de travailler pour des organisations non gouvernementales nationales et internationales. Des décrets antérieurs interdisaient aux femmes et aux filles l'accès à l'enseignement supérieur. Cette dernière interdiction en date constitue une violation inégalée des droits des femmes, une violation flagrante des principes humanitaires et des règles internationales relatives aux privilèges et immunités des Nations Unies.
Alors que le pays est en proie à une grave crise économique et humanitaire, cette directive entravera considérablement la fourniture d'une aide essentielle à ceux qui en ont le plus besoin.
La participation des femmes à la fourniture de l'aide n'est pas seulement une réponse de principe, mais un impératif d'efficacité opérationnelle, car elles jouent un rôle essentiel dans la fourniture de l'aide humanitaire de l'OIM, en particulier pour les femmes et les filles. Nous devons veiller à ce qu'elles aient l'accès et le soutien nécessaires pour poursuivre leur travail extraordinaire en toute sécurité dans l'ensemble du pays.
L'ensemble du personnel féminin de l'OIM et des Nations Unies continuera à percevoir son salaire et les femmes ne seront pas remplacées par des hommes.
Aucune paix durable, aucun relèvement, aucune stabilité n'est possible sans l'engagement actif des femmes et leur participation à la vie sociale, économique et politique de leur pays. L'OIM continuera à aider le peuple afghan - dont les deux tiers ont besoin d'une aide humanitaire vitale - dont 6,5 millions de personnes déplacées à l’intérieur du pays et 5,7 millions de migrants de retour.
L'OIM maintient une présence constante en Afghanistan depuis 1992, à travers les conflits et les crises humanitaires, et est déterminée à rester et à apporter son soutien au peuple afghan.
Aujourd'hui, demain et tous les jours suivants, l'OIM se tient aux côtés des femmes afghanes.
***
Pour plus d'informations, veuillez contacter :
Paul Dillon, Porte-parole, OIM Genève, +41 79 636 9874, pdillon@iom.int