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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Une nouvelle étude de l’OIM et de l’UNICEF explore l’impact des migrations sur les enfants et les adolescents au Guatemala
La nouvelle Etude sur les rapatriements de fonds 2010 :
Protéger les enfants et les adolescents, neuvième
étude de cette série de l'OIM au Guatemala et
deuxième produite conjointement avec l'UNICEF, confirme
l'impact des migrations sur les proches restés au pays.
Bien que les rapatriements de fonds permettent aux familles de
couvrir leurs besoins primaires, d’envoyer les enfants
à l'école, d'acheter du terrain, de démarrer
de petites entreprises et d'économiser, l'étude a
révélé que lorsque l'un des parents, ou les
deux, migrent, la dynamique familiale change, notamment au niveau
des comportement des proches restés au pays, en particulier
des enfants et des adolescents.
L'étude a montré que les mineurs restés au
pays et confiés à leurs grands frères et
surs, à leurs grands-parents ou à d'autres
membres de la famille, développent un sentiment
d'insécurité et parfois des comportements
irrationnels et peuvent être sujets à
différentes formes de maltraitance.
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target="_blank" title="">Encuesta sobre Remesas 2010,
Protección de la Niñez y Adolescencia
Toutefois, la nécessité de rechercher des
opportunités économiques meilleures et de trouver un
emploi était le facteur principal pour 86,7% du 1,6 million
de migrants guatémaltèques vivant à
l’étranger, dont 97% aux Etats-Unis.
L'étude de l'OIM/UNICEF 2010 sur les rapatriements de
fonds a également confirmé que 640 filles
âgées de 10 à 14 ans étaient à la
tête de familles et donc responsables de leurs plus jeunes
frères et surs.
« Cette réalité est inquiétante. Nous
espérons que les données recueillies par l'OIM et
l'UNICEF serviront d’outils précieux pour le
gouvernement, la société civile et les organisations
internationales, pour la sensibilisation et l'élaboration de
politiques publiques visant à protéger les millions
d’enfants et d'adolescents directement touchés par les
migrations », explique Delbert Field, chef de mission de
l'OIM au Guatemala.
La dernière étude sur les rapatriements de fonds,
menée en novembre et décembre 2010 et qui concernait
3 000 familles réceptrices de fonds, a confirmé que
1,4 million de Guatémaltèques avait rapatrié
4,4 milliards de dollars à leurs familles. Plus de 65% sont
envoyés mensuellement, à hauteur d’environ 283
dollars par mois.
Plus de 15% des bénéficiaires interrogées
ont déclaré qu’ils recevaient des fonds depuis
15 ans ou plus.
« Chaque année, l'étude de l'OIM confirme
que les migrants guatémaltèques sont liées
à leurs familles et leurs rapatriements de fonds expriment
cet attachement. Les neuf millions d'appels
téléphoniques effectués chaque mois est un
autre élément de mesure de cet attachement »,
ajoute Delbert Field.
Plus de 74% des familles qui ont un ou plusieurs proches
à l'étranger restent en contact par
téléphone portable et 8,7%, par internet.
Un exemplaire complet de l’étude en espagnol est
disponible sur
"/jahia/webdav/shared/shared/mainsite/media/docs/reports/Guatemala-2010-migrant-remittance-survey.pdf"
onclick="javascript: pageTracker._trackPageview('/pubdocs');"
target="_blank">www.iom.int.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Karla Villamar
IOM Guatemala
Tel: +502 2362-8367 to 70
E-mail:
"mailto:kvillamar@iom.int">kvillamar@iom.int