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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Un rapport sur la traite révèle que le commerce de la virginité contribue aux abus
Selon un récent rapport de l'OIM, le commerce de la
virginité continue de nourrir les structures de la traite et
de l'exploitation sexuelle à des fins commerciales.
Intitulé « The Ties that Bind: Migration and
Trafficking of Women and Girls for Sexual Exploitation in Cambodia
» (Des liens serrés : migration et traite des femmes
et des filles à des fins d'exploitation sexuelle au
Cambodge), ce rapport décrit, au moyen de graphiques, les
structures qui permettent d'abuser des femmes et des filles dans
l'industrie du sexe au Cambodge.
Cette étude se base sur l'interview de plus de 200
prostituées dans trois provinces du Cambodge – Koh
Kong, Kompong Thom et Siem Reap. Elle révèle que 38
pour cent des femmes et des filles interviewées sont
entrées dans l'industrie du sexe au travers de la vente
volontaire ou forcée de leur virginité. Par ailleurs,
près de 20 pour cent de ces femmes ont été
violées avant d'entrer dans l'industrie du sexe.
« Pour de nombreuses femmes et filles interrogées,
la perte de leur virginité a été si humiliante
qu'elles ont eu le sentiment que la seule option qui s'offrait
encore à elles était de se prostituer »
explique Ellie Brown, auteur de ce rapport. « On leur
reproche souvent d'avoir perdu leur virginité, quelle que
soit la façon dont elles l'aient perdue. »
Ce rapport rappelle que de nombreux facteurs rendent les femmes
et les filles vulnérables face à la traite, en
particulier les violences domestiques, les dettes et les
problèmes familiaux. Dans de telles situations, les familles
sont moins susceptibles de protéger les femmes et les
filles. Certaines filles choisissent de fuir ces situations d'abus,
mais une fois qu'elles ne bénéficient plus de la
protection familiale, elles deviennent plus vulnérables face
à l'exploitation.
Les conclusions de ce rapport seront communiquées aux
partenaires du gouvernement et de la société civile
afin d'aborder la question de leur implication dans les
stratégies de lutte contre la traite, y compris en
travaillant avec les communautés vietnamiennes
vulnérables.
Ce rapport est disponible sur
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"http://www.iom.int">www.iom.int
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
John McGeoghan
OIM Phnom-Penh
Tél. : +855 12 900 139
E-mail :
"mailto:jmcgeoghan@iom.int">jmcgeoghan@iom.int