-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Un rapport met en lumière une plus forte implication en termes d'aide aux victimes de la traite
Selon une récente étude de l'OIM, grâce
à une plus grande implication des gouvernements et à
la coopération avec les organisations internationales et les
ONG, l'aide proposée aux victimes de la traite
officiellement identifiées et rapatriées vers des
pays du bassin du Mékong serait plus importante.
Ce rapport, intitulé « Un voyage semé
d'embûches - analyse des processus régionaux et
nationaux en matière de retour et de
réintégration des victimes de la traite dans le
bassin du Mékong », attribue en partie
l'amélioration de la coopération
transfrontalière aux réussites de l'initiative
ministérielle coordonnée contre la traite dans le
bassin du Mékong (COMMIT en anglais), qui permet de
coordonner les politiques de développement et de renforcer
les capacités des programmes de lutte contre la traite dans
la région.
Préparé par l'OIM avec le soutien du projet
inter-agences des Nations Unies contre la traite d'êtres
humains dans le bassin du Mékong (UNIAP) et financé
par le Bureau de la population, des réfugiés et de la
migration du Département d'Etat américain et par
l'Agence australienne pour le développement international
(AusAID), ce rapport analyse le processus de retour et de
réintégration des victimes de la traite au Cambodge,
en Chine, en République démocratique populaire lao,
au Myanmar, en Thaïlande et au Vietnam.
« Ce rapport est le premier bilan systématique de
l'aide proposée par les pays de destination aux victimes de
la traite identifiées dans la région. Il indique
comment les victimes ont pu regagner leur pays d'origine, et
comment elles ont été orientées vers les aides
à la réintégration à leur retour
» explique Ashley Garrett, coordinateur du projet de lutte
contre la traite de l'OIM.
Si les statistiques portant sur la traite d'êtres humains
ne sont pas fiables, les données portant sur le retour et la
réintégration permettent d'analyser un trafic
basé sur l'exploitation et l'abus des plus
vulnérables à l'échelle sociale et
économique.
Ce rapport a été commandité dans le cadre
du projet « Retour et réintégration des femmes
et des enfants victimes de la traite au sein des pays du bassin du
Mékong » de l'OIM, projet qui a permis le retour
transfrontalier de près de 1730 victimes depuis la
Thaïlande – principal pays de destination de la
région – entre septembre 2000 et octobre 2006.
Outre les processus de documentation existant, les auteurs de ce
rapport, Jerrold W. Huguet et Varamon Ramangkura, ont
souligné les défauts des processus d'identification,
de retour et de réintégration et ont recensé
les zones où ce système pourrait être
amélioré ou renforcé.
Cela inclut une meilleure coordination interne et la mise en
place de procédures opérationnelles
standardisées; l'incorporation d'aides en matière
d'abris et de services au sein des services sociaux ; une
amélioration de la collecte de données et la
recherche et de meilleures techniques d'identification des
victimes. De même, ce rapport souligne l'importance de
renforcer l'assistance légale aux hommes victimes de la
traite, la formation des travailleurs sociaux et
interprètes, notamment ceux travaillant auprès
d'enfants afin d'assurer un meilleur suivi des victimes
rapatriées.
Ce rapport est disponible en format pdf et peut être
téléchargé sur le site Internet de l'OIM pour
l'Asie du Sud-Est,
"http://www.iom-seasia.org">www.iom-seasia.org.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Chris Lom
OIM Bangkok
Tél. : +66.819275215
E-mail :
"mailto:clom@iom.int">clom@iom.int