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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Un projet de l'OIM d'éducation à la finance permet de former des milliers de familles réceptrices de rapatriements de fonds au Nicaragua
L'OIM travaille avec la banque nicaraguayenne BANPRO afin de
fournir une formation à la finance aux familles qui
reçoivent des rapatriements de fonds, à Managua, la
capitale, et dans les villes de Chinandega, Estelí et
Masaya, qui connaissent des flux migratoires importants depuis ces
dernières décennies.
Depuis le début du projet en octobre 2010, faisant suite
à un accord entre l'OIM et BANPRO, plus de 3 000 hommes et
femmes qui reçoivent des rapatriements de fonds de la part
de membres de leurs familles vivant aux Etats-Unis (56%), au Costa
Rica (28%) et en Espagne (11%), ont bénéficié
d'une formation à la finance.
Le nombre de Nicaraguayens vivant à l'étranger est
estimé à près d'un million, dont plus de la
moitié est financièrement liée soit par les
rapatriements de fonds envoyés à leurs familles
restées au pays, soit par leurs investissements ou par la
consommation de biens exportés depuis le Nicaragua,
également appelés « produits nostalgiques
».
En 2009, les fonds rapatriés à plus de 600 000
personnes au Nicaragua s'élevaient à 915 millions de
dollars, soit 13% du PIB.
Le projet de l'OIM, financé par l'Agence espagnole de
coopération internationale pour le développement
(AECID en espagnol), a débuté par la formation de 14
instructeurs dans le domaine de la finance, visant à leur
apprendre à dispenser des conseils aux récepteurs de
rapatriements de fonds sur l'importance de définir un budget
et d'augmenter leurs économies, ainsi que sur les produits
financiers à leur disposition.
D'après Manuel Orozco, du Dialogue interaméricain
à Washington, D.C., aux Etats-Unis, moins de 20 % des
familles latino américaines qui reçoivent des fonds
disposent d'un compte bancaire, en raison du manque de
connaissances du système bancaire et du peu d'offres de la
part des institutions bancaires.
Au Nicaragua, seul un tiers des familles réceptrices de
fonds définit un budget. Un pourcentage encore plus faible
dispose d'un compte bancaire mais environ 40% des familles ont
déclaré économiser de manière
informelle.
Un projet similaire de l'OIM au Moldova a montré que les
familles qui bénéficiaient d'une formation à
la finance étaient capables de définir un budget et
de s'y restreindre, d'augmenter le montant de leurs
économies et de gérer leurs dettes et leurs prises de
risques financières de manière plus efficace. Le
projet de six mois conduit en 2007 a été mené
à bien en collaboration avec 7 000 clients de banques.
Quelque 80% des participants ont déclaré à
l'OIM que les conseils financiers leur ont été utiles
et qu'ils continueraient à utiliser les services
bancaires.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Lindsay Edwards
OIM Nicaragua
E-mail:
"mailto:ledwards@iom.int">ledwards@iom.int