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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Un nouveau financement renforce l’action d’urgence au Zimbabwe
Harare – Les opérations d’urgence post-cyclone au Zimbabwe ont reçu, cette semaine, une contribution de 200 000 dollars du gouvernement japonais et des mécanismes de financement interne de l’Organisation internationale pour les migrations.
Les fonds seront utilisés pour les abris et l’aide non alimentaire, la coordination et la gestion des camps (CCCM), la santé, la protection, le suivi des déplacements, la santé mentale et le soutien psychosocial (SMSPS) et le relèvement rapide. L’OIM dirigera le groupe chargé des abris, de l’aide non alimentaire et des activités CCCM.
Les inondations causées par le cyclone Idai ont jusqu’ici fait 268 morts. Quelque 270 000 personnes ont été touchées, dont environ 21 000 ont été déplacées dans les districts de Chipinge et de Chimanimani à l’est du pays. Les personnes touchées qui vivent désormais dans des centres collectifs comme des écoles, des salles de conférence d’hôtels et des magasins vides ont urgemment besoin d’aide.
Suite au passage du cyclone, l’OIM a déployé, ce mois-ci, une délégation de haut-niveau dans les zones les plus sinistrées du Zimbabwe. La délégation - composée de Charles Kwenin, Directeur régional de l’OIM pour l’Afrique australe, de Mario Lito Malanca, chef de mission de l’OIM au Zimbabwe, et de Mohammed Abdiker, Directeur des opérations d’urgence de l’OIM - a rencontré des responsables du gouvernement et des personnes touchées dans les districts de Chipinge et de Chimanimani afin d’établir les besoins et les difficultés rencontrés par les communautés sinistrées par le cyclone Idai.
Lors d’une visite à Kopa et Ngangu, deux communautés de Chimanimani où la majorité des déplacements a eu lieu, la délégation de l’OIM a remarqué que Kopa, une communauté de plus de 77 familles à l’économie autrefois florissante, a été réduite à néant et les habitants survivants cherchent refuge dans les foyers alentours. A ce jour, 305 personnes sont portées disparues.
En voyant le niveau de destruction provoqué par le cyclone, le Directeur des opérations d’urgence a autorisé le déblocage de 100 000 dollars du fonds interne d’urgence de l’OIM au Zimbabwe pour financer les abris et l’aide non alimentaire.
« A l’OIM, nous recherchons les meilleurs moyens pour aider les communautés touchées, en particulier en termes d’abris, de soutien psychosocial et d’aide non alimentaire. Nous sommes là pour soutenir le peuple du Zimbabwe du mieux que nous pouvons », a déclaré M. Abdiker.
Le Ministère japonais des affaires étrangères a également répondu à l’appel de l’OIM et fait don de 100 000 dollars à la mission pour améliorer la situation des communautés touchées par le cyclone Idai. Le financement japonais contribuera au travail de l’OIM et à ses activités CCCM et d’aide non alimentaire.
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a lancé un appel de 7,2 millions de dollars à la communauté internationale pour permettre à l’Organisation de fournir une aide humanitaire multisectorielle à 90 000 personnes qui ont été touchées par le cyclone Idai au Zimbabwe.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Varaidzo Mudombi, OIM Zimbabwe, Tel : +26324270428, Email : vmudombi@iom.int
L’OIM lance un appel de 3,15 millions de dollars pour aider les communautés touchées par le cyclone Idai au Malawi Lilongwe – L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a lancé un appel de 3,15 millions de dollars à la communauté internationale pour permettre à l’Organisation de fournir une aide humanitaire multisectorielle à ceux touchés par le cyclone Idai au Malawi. Lorsque le cyclone Idai s’est abattu sur le Malawi les 14 et 15 mars 2019, il a provoqué des chutes de pluie abondantes et persistantes qui ont causé de graves inondations à travers les districts du sud du pays. D’après les chiffres du gouvernement du Malawi, plus de 869 900 personnes ont été touchées, dont plus de 86 980 ont été déplacées, 60 sont mortes et 672 ont été blessées. Au total, quinze districts au sud du Malawi ont été sinistrés. Les évaluations des sites réalisées entre le 25 mars et le 6 avril 2019 par l’équipe de la Matrice de suivi des déplacements (DTM) de l’OIM dans les quatre districts ayant les taux de déplacement les plus élevés – Zomba, Nsanje, Chikwawa et Phalombe – ont enregistré que 110 110 personnes (24 887 familles) ont été déplacées à travers 103 sites. Presque tous les sites de déplacement sont des centres collectifs, où les populations ont fui vers des structures existantes telles qu’églises ou écoles et trouvent refuge à l’intérieur et autour de ces édifices. Cependant, les conditions de vie se détériorent rapidement en raison du surpeuplement et du manque d’accès aux services de base. L’agriculture étant le principal moyen de subsistance pour la population rurale au Malawi, les fortes pluies et les inondations ont mis à mal les activités agricoles. Les champs étant inondés, les cultures récemment plantées ont été détruites. Certains districts comme celui de Nsanje font déjà état d’insécurité alimentaire. D’après les évaluations de la DTM, le principal besoin des déplacés internes est la nourriture, suivie des abris. Les déplacés font part de leur souhait de rentrer chez eux dès que les pluies cesseront. Cependant, leurs habitations ont été détruites et ils n’ont pour l’instant pas les moyens de les reconstruire. Tant qu’elle ne pourra pas rentrer chez elle et replanter, la population déplacée dépendra de l’aide humanitaire et sera contrainte de vivre dans des centres collectifs et des sites de fortune dans des conditions de vie médiocres. D’après l’évaluation des sites de l’OIM, la moitié des centres collectifs sont situés dans des écoles, ce qui signifie que les élèves ne peuvent pas poursuivre leur scolarisation et les communautés déplacées dans les écoles ne peuvent pas se réinstaller ailleurs. Consulter ici l’appel intégral pour le Malawi. Pour plus d’informations, veuillez contacter Mpilo Nkomo, OIM Malawi, email : mnkomo@iom.int |