-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Un mois après le typhon Haiyan, l’OIM intensifie ses opérations de construction d’abris au centre des Philippines
Philippines - Alors que la phase de secours d’urgence suite au typhon Haiyan se termine pour laisser place au relèvement rapide, l’OIM intensifie ses efforts visant à fournir de meilleurs abris aux centaines de milliers de personnes laissées sans abri au centre des Philippines.
Bien que le nombre de personnes vivant dans des centres communautaires ou chez des proches diminue progressivement, les besoins restent considérables. Plus d’un million de maisons auraient été endommagées, provoquant le déplacement de quatre millions de personnes.
Une grande chaine logistique a été mise en place dans le cadre de la réponse du gouvernement et les premiers sets de tôles ondulées sont arrivés dans la ville de Tacloban, accompagnés de matériel de formation pour apprendre à reconstruire des logements plus solides. Les sets sont prêts à être chargés dans des camions pour être distribués demain à 600 des familles les plus vulnérables. Plus de 10 000 kits de construction d’abris supplémentaires sont également prêts à être distribués dans le pays. « Nos limites ne sont pas en termes de capacité d’approvisionnement, de logistique ou d’aide humanitaire. Notre limite est financière. Tout l’argent que nous avons reçu a déjà été dépensé », fait observer Marco Boasso, chef de mission de l’OIM aux Philippines.
Au total, 18 000 tôles ondulées accompagnées de caisse d’outils (marteaux, scies, pieds-de-biche, pelles et kits de réparation), arriveront dans la ville détruite ce week-end et seront distribuées à 1700 familles. Quelque 100 000 autres tôles et kits sont positionnés dans le pipeline.
Dans les prochains jours, l’Organisation enverra des tôles, des couvertures, des outils, des clous, de la corde, des bâches, des jerricans, des seaux, des matelas, des bambous, des lampes solaires et des sets de cuisine de ses centres opérationnels à Tacloban, à Cebu, à Roxas, à Ormoc et à Guiuan, pour desservir 50 000 familles. Des lampes solaires, des couvertures et des jerricans ont été distribués hier à plus de 230 familles dans l’un des quartiers les plus pauvres de Tacloban.
« Notre but est d’aider à reloger les personnes en lieu sûr, où elles pourront reconstruire leur vie », a déclaré Conrad Navidad, coordinateur national des opérations d’urgence pour l’OIM aux Philippines. « Nos camions sont prêts à intervenir et nous coopèrerons avec le gouvernement pour nous assurer que les distributions parviennent aux plus nécessiteux le plus rapidement possible. Nous sommes également prêts à aider le gouvernement à trouver des solutions durables et à long terme. »
Dans le même temps, l’OIM a mené des enquêtes dans 143 sites de déplacés, permettant de dresser un portrait détaillé des besoins, des conditions de vie et des tendances à travers la zone touchée par le typhon Haiyan.
« Nous utilisons notre Matrice de suivi des déplacements pour recueillir des informations et intervenir dans les situations qui se présentent », a ajouté Conrad Navidad. « Ce mécanisme a été utilisé suite à de précédents typhons aux Philippines, ainsi qu’en Haïti, au Pakistan, au Soudan du Sud, en Iraq et en Afghanistan. Elle nous permet de garder un dialogue permanent et en temps réel avec les communautés déplacées, de les informer sur l’aide fournie et de répondre à leurs demandes. »
En collaboration avec le Département de la sécurité sociale et du développement (DSWD) du gouvernement philippin et d’autres partenaires, l’OIM crée un réseau de « Communications avec les communautés (CwC) » intégrant les journalistes locaux, les centres d’appel et SMS et les médias traditionnels. Le projet cible 500 000 personnes dans les centres de déplacés et les communautés d’accueil, en particulier les femmes et les enfants.
Pour plus d’information et pour convenir d’interviews sur la situation un mois après le typhon, veuillez contacter Joe Lowry à Tacloban, +63 927 6298700, email: jlowry@iom.int