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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
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- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Un campus virtuel offre une formation en ligne gratuite sur la traite humaine
Un campus virtuel créé par le Bureau régional
de l'OIM en Argentine propose une formation aux membres du
gouvernement travaillant sur les questions liées à la
traite humaine.
Le site –
"http://campus.oimconosur.org/#material">http://campus.oimconosur.org/#material
– comprend des cours de formation sur la traite humaine
à des fins d'exploitation sexuelle et de travail
forcé, gratuits pour tous les membres du gouvernement; et
des informations pour le grand public, y compris les
dernières études et publications sur la traite
humaine en Argentine et dans le monde.
Le campus en ligne offre quatre formations de 30 heures:
- Appliquer le droit – pour les juges, les avocats et
les procureurs généraux – comprend des
informations sur la traite humaine et présente tous les
instruments juridiques internationaux disponibles, étudie
les défis juridiques soulevés lors d'une
enquête et donne des conseils et des informations en
matière de protection et d'assistance aux victimes. - Enquête criminelle – pour les policiers et les
autres représentants de l'ordre – ce module met
l'accent sur les caractéristiques du crime que constitue la
traite humaine, et enseigne des techniques d'investigation tout en
insistant sur l'aspect éthique qui doit être
gardé à l'esprit lors de toute enquête sur un
crime lié à la traite et sur la
nécessité de travailler avec l'appareil judiciaire et
les prestataires de services. - L'aide aux victimes – pour les prestataires de services
– présente la traite humaine et ses
conséquences sur les victimes, fournit des conseils et des
instructions sur le développement d'un programme
d'aide réussi dans le respect de l'intimité et des
droits humains des victimes. - Le contrôle des lieux de travail – pour les
inspecteurs du Ministère du Travail – ce module
apporte les compétences et les outils nécessaires
pour reconnaître des situations d'exploitation au travail qui
non seulement enfreignent la loi, mais peuvent aussi
constituer des cas de traite humaine.
En mars 2006, six migrants boliviens sont morts dans l'incendie
d'un atelier clandestin situé en périphérie de
la capitale argentine. Ce tragique incident a mis en
évidence le quotidien de beaucoup de migrants qui,
poussés par la pauvreté et le manque d'informations,
acceptent des offres frauduleuses faites par des employeurs sans
scrupules. Ces ateliers sont souvent situés dans des maisons
privées, ce qui complique la tâche des
autorités qui cherchent à inspecter ces lieux pour
les fermer et infliger une amende aux exploitants.
En avril, l'Argentine a adopté la Loi 26.364
destinée à prévenir la traite humaine,
poursuivre en justice les trafiquants et porter assistance aux
victimes.
D'après une étude préparatoire de l'OIM
menée en 2006, Buenos Aires est une destination importante
aussi bien pour les victimes internationales que pour les victimes
nationales de la traite. Cette étude a par ailleurs
révélé que certaines victimes sont
emmenées en Espagne.
L'étude a confirmé que les
proxénètes et les propriétaires de night clubs
recrutent via leurs employés notamment des femmes qui
offrent des services sexuels aux clients. D'autres victimes sont
recrutées par des agents peu scrupuleux qui s'en prennent
aux femmes des régions rurales. L'étude de l'OIM
révèle également que ces personnes sont en
plus souvent victimes de travail forcé.
Depuis 2005, l'OIM Buenos Aires a aidé 286 victimes de la
traite.
Les membres du gouvernement peuvent s'enregistrer pour le cours
gratuit en ligne via e-mail:
href="mailto:campus@iom.int">campus@iom.int ou par
téléphone en appelant le bureau de l'OIM au: +
54.11.4322.7041.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Gabriela Fernández
OIM Buenos Aires
Tél.: +54.11.4322.7041
E-mail:
"mailto:gfernandez@iom.int">gfernandez@iom.int