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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Un boxeur à l’OIM éveille l’intérêt sur le Festival international du film sur la migration 2018
Genève - En préparation au troisième Festival annuel du film sur la migration (GMFF) de l’OIM qui se déroulera en décembre, Joel Millman, porte-parole de l’OIM, a décidé, cette semaine, de prendre les choses en main et d’éveiller l’intérêt - et de collecter plus de 1 200 dollars - pour l’événement.
En réalité, il a utilisé ses deux mains, sur un ring de boxe.
Jeudi 24 mai, Joel Millman a rejoint plus d’une dizaine de boxeurs amateurs, hommes et femmes, lors d’un gala organisé au Starling Hotel à Genève. Il y a rencontré son adversaire, Bertrand Bricheux, boxeur suisse qui travaille pour une société de gestion financière. L’événement, intitulé White Collar Boxing Switzerland, a attiré plus de 3 000 fans de combat pour lever des fonds pour diverses organisations caritatives. Les combattants ont chacun dû choisir l’organisation caritative de leur choix à parrainer. Joel Millman a choisi le Festival international du film sur la migration 2018 de l’OIM.
« C’était un choix assez simple », a expliqué le boxeur de l’OIM. « Nous travaillons tous dur pendant des mois pour donner vie à ce festival. Il était alors logique d’ajouter des mois de boxe à ce calendrier. »
Pour sensibiliser au festival, Joel Millman a travaillé avec son équipe de médias et communication de l’OIM pour produire une vidéo montrant sa préparation pour le combat du 24 mai, avec des instructions sur la possibilité de faire un don au GMFF via le site internet de l’OIM. Les fonds ont été levés via www.usaforiom.org, permettant aux donateurs qui sont également des contribuables américains de déduire leur don pour les impôts 2018 l’an prochain.
La vidéo a été visionnée quelques centaines de fois pendant les premiers jours et a permis de récolter plus de 1 000 dollars pour le GMFF lors de la semaine d’ouverture de la campagne. USA for IOM acceptera des dons jusqu’à la fin du mois. Pour voir la vidéo, cliquez ici.
Le Festival international du film sur la migration de l’OIM a été lancé en 2016 et suivi par des milliers de personnes à travers le monde. En plus de galas de projections à Genève et New York, en 2017, plus de 90 missions de l’OIM en Afrique, en Asie, en Europe, en Océanie et en Amérique ont organisé des éditions locales du GMFF en projetant des films produits par les réalisateurs où se trouvent les missions, dans certains lieux assez inhabituels. Au Niger, la mission de l’OIM a monté un véritable caravansérail de projections de films sur la migration, organisant également des événements à travers la région de 3 000 kilomètres carrés, dont certains dans des camps de transit de migrants.
La programmation est déjà en cours pour les missions dans plus d’une centaine d’endroits pour ajouter leur touche magique au festival du film, qui attire des courts-métrages, des longs-métrages, des documentaires et des films d’animation. Le souci du détail, notamment pour obtenir les droits de projection, et la conscience du travail qu’accomplissent les missions à travers le monde, sont un combat tout aussi impitoyable que ce que l’on voit sur un ring de boxe.
Les dépenses peuvent rapidement s’accumuler, d’où la gratitude des collègues de Joel Millman pour ses efforts.
« J’étais ravie que mon collègue décide de prendre cette initiative pour soutenir le Festival international du film sur la migration 2018. Il fait de la boxe depuis longtemps et il sait ce qu’il fait », a déclaré Amanda Nero, Directrice du GMFF, qui travaillait cette semaine, dans son Brésil natal. « Je l’appelais gordinho avant, ce qui signifie « petit gros » en portugais. Mais plus maintenant. »
Amanda Nero a ajouté que son collègue avait un nouveau surnom : farofa, la farine de manioc que les Brésiliens mangent en accompagnement de leur traditionnel ragoût de riz et de haricots noirs.
Les migrants occupaient une place importante dans l’événement de jeudi soir. Parmi les combattants en col blanc figuraient de nombreux migrants originaires du Canada, d’Albanie, de Colombie, de Belgique, d’Allemagne, du Brésil, de Suède, du Kurdistan d’Iraq et des Etats-Unis. « Pour moi, il s’agit de mouvement, et de liberté », a déclaré Reshaw Palinuro, ancienne réfugiée iraquienne vivant aujourd’hui à Stockholm. « J’adore enseigner aux enfants, en particulier aux filles, qu’ils peuvent être fort et se défendre seuls. »
Reshaw Palinuro a combattu Julie Gauthier, une Canadienne qui travaille pour une société de gestion de fortune suisse, qui a gagné après une décision serrée lors du round final.
En ce qui concerne le fonctionnaire de l’OIM qui a participé, le combat s’est également déroulé en trois rounds, mais le boxeur de l’OIM a fini deuxième. « En gros, j’ai perdu », a expliqué Joel Millman, avec un sourire d’épuisement et de soulagement, en descendant du ring. « Mais je suis content d’avoir eu la chance de remonter sur un ring à mon âge avancé et de faire quelque chose qui aide le Festival international du film sur la migration. Ce fut un effort commun. »
Pour plus d’informations, veuillez contacter Amanda Nero, Festival international du film sur la migration, Tel : +41 22 717 9482 Email : anero@iom.int