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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Trois ans après, les habitants de Kilip continuent de prospérer avec l’aide de l’OIM, de l’USAID et de la Commission européenne
Port Moresby – Une délégation du gouvernement américain s’est rendue dans la communauté de Kilip pendant le week-end (03/08), impatiente de voir le projet d’approvisionnement en eau durable et d’agriculture résistante au climat mis en œuvre en 2016, en réponse à la sécheresse provoquée par le phénomène climatique El Niño.
Dans le cadre de son projet, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a foré 17 puits, donnant accès à l’eau potable à plus de 65 000 personnes à travers trois provinces, notamment Jiwaka, Enga et Chimbu.
Conjointement financé par l’USAID et la Commission européenne, le projet de l’OIM intitulé «Enhancing Climate-Resilient Agriculture and Water Supply in Drought-Affected Communities in Papua New Guinea » ciblait les villages les plus touchés dans les trois provinces.
L’OIM a également formé quelque 15 777 bénéficiaires à la santé et à la promotion de l’hygiène dans les communautés les plus touchées par la sécheresse. Des formations à la gestion des pompes ont été dispensées à 30 membres de la communauté dans les zones ciblées, où l’OIM a donné aux bénéficiaires les compétences et outils pratiques et des équipements de protection personnels pour entretenir les 17 puits, qui aident à garantir leur pérennité.
Ces formations à la gestion des pompes ont été complétées par la sensibilisation du comité des usagers, organisée pour les 150 « champions communautaires » afin de garantir l’appropriation locale et l’égalité d’accès aux sites.
Trois ans après, les habitants de Kilip et des communautés voisines continuent d’en bénéficier dans le cadre du projet.
Lors de la visite de la délégation du gouvernement américain, les membres de la communauté ont mis en avant les avantages tirés du projet, notamment l’amélioration de la sécurité alimentaire, l’accès à l’eau potable et la baisse du nombre d’épidémies de maladies. « Nos enfants étaient toujours malades avant. Nous n’allons plus à la clinique aussi régulièrement qu’avant que l’OIM aide la communauté de Kilip. Les connaissances que nous a apportées l’OIM et le puits qu’elle a foré profite à plus de 5 000 personnes à Kilip. Nous sommes une communauté prospère », a déclaré l’un des bénéficiaires.
L’OIM a également mis en œuvre une activité d’agriculture durable à travers des formations techniques pour 100 agriculteurs qui reflètent la compréhension et l’amélioration des pratiques d’agriculture locale et autochtone. La formation était centrée sur la promotion de la résilience communautaire tout en encourageant l’utilisation de variétés hybrides de graines et de légumes développées localement.
Renforcer la résilience des communautés locales et renforcer la capacité des agriculteurs locaux à développer des pratiques agricoles durables ont des effets à long terme. Les bénéficiaires de la culture du riz (formation, outils et distribution de graines) enregistrent aujourd’hui trois récoltes par an et apportent une meilleure sécurité alimentaire et des moyens de subsistance résistants.
Les riziculteurs étaient fiers des 20 tonnes de riz que leurs exploitations ont produites et ont remarqué que bien que leur capacité à cultiver le riz augmentait, leur capacité à le transformer était limité. Ils ont ainsi demandé une aide supplémentaire pour le processus de mouture.
Pour plus d’informations, veuillez contacter l’OIM à Port Moresby, Lance Bonneau, Tel. +675 3213655, email : lbonneau@iom.int ou Peter Murorera, email : pmurorera@iom.int