-
Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
Structure
Structure
- Structure organisationnelle
- Directrice générale
- Directrice générale adjointe chargée de la gestion et des réformes
- Directrice générale adjointe chargée des opérations
- Bureau du Chef de Cabinet
- Bureau des partenariats, de la sensibilisation et de la communication
- Bureau de la stratégie et de la performance institutionnelle
-
Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
Ce que nous faisons
Ce que nous faisons
Partenariats
Partenariats
- Où travaillons-nous
-
Agir
Agir
Travailler avec nous
Travailler avec nous
Engagez-vous
Engagez-vous
- Données et recherche
- 2030 AGENDA
Sensibilisation au phénomène de traite dans les zones touchées par les inondations
L'OIM lance une série de réunions spéciales
afin de sensibiliser au phénomène de traite les
communautés vulnérables touchées par les
inondations qui habitent dans les provinces de Sofala, de Tete et
de Zambezia au Mozambique.
Les débats auront lieu du 9 au 20 novembre dans 11 villes
différentes des districts de Caia, Mutarara et Morrumbala :
Chilomo, Tengane, Muriri, Mponha, Gera, Gaute, Ndambuenda,
Mapulango, Canga, Caia et Morrumbala Sede.
Les débats réuniront des spécialistes de
l'OIM de la lutte contre la traite, ainsi que des centaines de
bénéficiaires et dirigeants de communautés des
zones où les vulnérabilités existantes
à la traite ont été aggravées par les
récentes inondations.
Une évaluation conduite par l'OIM en mai 2007 a
clairement établi que la destruction régulière
des moyens de subsistance augmentait la vulnérabilité
des communautés au phénomène de traite.
« Des approches personnalisées faisant participer
les communautés par le biais de leurs dirigeants
peuvent réduire considérablement les
vulnérabilités à la traite »,
déclare Nely Chimedza de l'OIM. « L'OIM apporte
également des fonds aux plus vulnérables pour les
aider à démarrer des activités
génératrices de revenus, afin qu'ils deviennent
autosuffisants et donc moins exposés à la traite.
»
Les débats porteront sur les diverses formes de traite,
sur les stratégies et les pratiques de prévention et
sur la mise en place de mécanismes informels de protection
des communautés lors de catastrophes naturelles.
Les activités agricoles de génération de
revenus seront menées à bien en partenariat avec
l'ONG Oikos-Cooperação e Desenvolvimento et en
coordination avec le Ministère mozambicain de
l'Agriculture.
Des graines de maïs, de haricots, de manioc et de patates
douces, pouvant être plantées dans des zones
inondées, seront distribuées en plus d'outils
agricoles et d'engrais, dans le cadre d'efforts visant à
réduire les vulnérabilités et accroitre la
sécurité alimentaire locale. La formation à la
gestion d'entreprise sera également disponible pour les
bénéficiaires.
Cette initiative financée par le Japon s'inscrit dans le
programme régional d'aide à la lutte contre la traite
dans le sud de l'Afrique (SACTAP).
Le Mozambique est un pays d'origine, et dans une moindre mesure,
un pays de destination pour les hommes, les femmes et les enfants
victimes de traite à des fins d'exploitation sexuelle et
pour le travail forcé. Les enfants sont
régulièrement victimes de traite depuis les zones
rurales vers les zones urbaines après qu'on leur ait promis
un emploi ou une éducation, et vers l'Afrique du Sud pour la
servitude domestique et le commerce sexuel. Les jeunes hommes et
les garçons sont également victimes de traite vers
l'Afrique du Sud pour le travail agricole et minier.
Le programme SACTAP de l'OIM est financé par l'ambassade
norvégienne en Afrique du Sud et le Bureau de la Population,
des Réfugiés et des Migrations du Département
d'Etat américain.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Nely Chimedza
OIM Maputo
Tél. +258 21 310 779
E-mail :
"mailto:nchimedza@iom.int">nchimedza@iom.int