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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Réunion spéciale à Bangkok : pour l’OIM, de meilleures politiques sont nécessaires pour aider les migrants
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Thailand - Le Directeur général de l’OIM, William Lacy Swing, demande expressément aux pays touchés par la migration irrégulière dans la région de l’Océan indien d’employer tous les moyens possibles pour garantir un processus migratoire plus sûr à travers la région.
Lors de la deuxième Réunion spéciale sur la migration irrégulière dans la région de Bangkok aujourd’hui, l’Ambassadeur Swing a promis le soutien continu de l’OIM à cinq pays touchés – Bangladesh, Indonésie, Malaisie, Myanmar et Thaïlande – mais a averti que des politiques tenant compte des migrants étaient essentielles.
La migration est inévitable, nécessaire, et fortement souhaitable si elle est bien gérée, a t-il souligné. Des mesures tels que des visas à court-terme, l’octroi temporaire du statut de réfugié, des stratégies de protection, des visas de travail saisonnier et autres, doivent être mises en place pour étayer les priorités principales de l’accueil dans des conditions humaines et des mesures de secours pour les migrants vulnérables.
« Les mauvaises politiques encouragent involontairement les passeurs », a t-il déclaré à un public de diplomates, de représentants gouvernementaux et d’organisation internationales. « Nous devons réduire les moteurs du désespoir, car il est scandaleux de perdre 5 000 migrants dans le monde chaque année. Cela ne devrait pas arriver. »
L’Ambassadeur Swing a salué les mesures régionales qui ont été prises pour gérer la migration depuis la crise de mai dernier mais a fait remarquer que les chiffres n’étaient pas très élevés : au plus fort de la crise, quelque 8 000 personnes étaient bloquées en mer dans une région d’une population globale de 350 millions d’habitants.
Mentionnant également la crise mondiale touchant les migrants et les réfugiés, le DG Swing a également expliqué que des pays comme le Liban, l’Ethiopie, le Kenya et le Soudan accueillait chacun des centaines de milliers de réfugiés. « Nous devons nous rappeler que l’OIM a été fondée pour ramener, vers des côtes plus sûres, des millions de réfugiés en Europe à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Nous ne devons pas développer une amnésie sélective. »
Pour avancer, les gouvernements dans la région doivent améliorer l’accès aux populations vulnérables, a t-il souligné. « Si vous nous donnez un accès total, nous pouvons souvent vous aider à comprendre les besoins. »
Son Éminence Don Pramudwinai, Ministre thaïlandais des affaires étrangères, a cité le commentaire mémorable de l’Ambassadeur Swing lors de la première réunion spéciale en mai 2015 : « La migration n’est pas un problème à régler mais un phénomène à gérer. »
Parmi les autres participants de la conférence figuraient le HCR, l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime, l’Union européenne, le Secrétariat de l’ASEAN et les gouvernements indonésien, australien, thaïlandais, malaisien, birman et bangladais. En réponse à une demande des organisateurs, l’OIM a donné une brève présentation sur le rôle des campagnes d’information pour garantir une migration sûre, pour lutter contre la traite et pour limiter les flux de migrants irréguliers.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Joe Lowry, Tel: +66818708081, Email: jlowry@iom.int