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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Rapatriements de fonds Malaisie - Indonésie : un couloir de développement
L'OIM en Indonésie uvre pour promouvoir des liens
entre la migration et le développement avec les banques, les
fournisseurs de service de rapatriement de fonds et les
institutions clés du gouvernement, par le biais d'une
étude de l'OIM sur le couloir de rapatriements de fonds
entre la Malaisie et l'Indonésie.
Lors d'une table ronde financée par le programme AENEAS
de la Commission européenne qui s'est tenue à Jakarta
la semaine dernière, l'OIM et les fournisseurs de services
de rapatriement de fonds ont débattu des profils de
marché et des comportements de rapatriements de fonds des
migrants indonésiens, en vue de combler le manque
d'informations et de promouvoir une concurrence loyale et un
développement de produits sain parmi les fournisseurs de
services.
Les rapatriements de fonds peuvent jouer un rôle vital
dans le développement de l'économie. En 2008
seulement, les migrants de main-d'uvre indonésiens ont
envoyé 6,6 milliards de dollars à leurs familles
restées au pays.
L'étude de l'OIM, réalisée en collaboration
avec le Centre de ressources économiques pour les Philippins
à l'étranger, a montré que la plupart des
migrants considèrent la sécurité comme
étant l'élément le plus important (34%)
concernant la manière de rapatrier des fonds. La
rapidité vient en deuxième position (28%), suivi par
la facilité de procédure (22%). Le montant des frais
de rapatriement n'arrive qu'en quatrième position (18%).
D'autres conclusions ont montré que la plupart des
migrants de main-d'uvre utilisent souvent des moyens de
transfert de fonds illégaux. Quelque 34% des migrants
passaient par des maisons de change, mais 21% ont
déclaré remettre l'argent en mains propres ou le
transmettre par le biais de membres de leur famille ou d'amis. La
plupart des migrants qui passaient par des maisons de change
étaient des travailleurs du secteur technique ou tertiaire
ou des membres des professions libérales.
L'étude a été réalisée dans
le cadre d'un projet de l'OIM intitulé « Comprendre
les comportements de rapatriement de fonds des migrants
indonésiens afin de renforcer les services de transfert de
fonds ».
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Cecilia Cantos
OIM Jakarta
Tél. +62 21 5795 12 75 (ext. 245)
E-mail :
"mailto:ccantos@iom.int">ccantos@iom.int
ou
Aiko Kikkawa
OIM Manille
Tél. +632 848 1260 (ext. 152)
E-mail :
"mailto:akikkawa@iom.int">akikkawa@iom.int