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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Promouvoir la réconciliation et la cohésion sociale
L’OIM accroît ses efforts dans l’Ouest de la
Côte d’Ivoire en vue de faciliter le retour en toute
sécurité de milliers de déplacés
internes vers leur lieu de résidence.
A Péhé, une petite ville située dans le
département de Toulepleu, à proximité de la
frontière avec le Libéria, l’OIM organise des
réunions en vue de promouvoir la réconciliation entre
les communautés de travailleurs migrants
déplacés originaires d’Afrique de l’Ouest
et les populations locales.
Ces manifestations, organisées en coordination avec les
autorités locales et les ONG partenaires, réunissent
les membres des communautés déplacées et les
chefs traditionnels en vue de discuter des questions de
réconciliation et de retour des travailleurs migrants qui
ont fui les conflits ethniques en 2002 et 2003.
« Les équipes de l’OIM se rendent
régulièrement dans les villages des
départements de Toulepleu, Blolequin et Guiglo afin de
rencontrer ces chefs traditionnels » déclare Jacques
Seurt, chef de mission de l’OIM en Côte d’Ivoire.
« Lorsque ces derniers ont accepté de rencontrer des
représentants des déplacés, nous organisons
une première rencontre au centre de l’OIM pour les
déplacés de Guiglo. »
Le Centre d’accueil temporaire des déplacés
(CATD) abrite actuellement plus de 7 100 travailleurs migrants
originaires d’Afrique de l’Ouest, en majorités
du Burkina Faso et du Mali, ainsi que des personnes d’origine
burkinabé et malienne qui, dans certains cas, travaillent la
terre en Côte d’Ivoire depuis plus de deux
générations.
Jusqu’à présent, la plupart des travailleurs
migrants déplacés n’ont pu regagner leurs
villages et leurs terres en raison des questions foncières
complexes.
« Cette première rencontre permet
d’établir une relation de confiance entre les
communautés. Elle est généralement suivie
d’une cérémonie de réconciliation dans
les villages qui exprimaient jusqu’alors une certain
réticence par rapport au retour des déplacés
» affirme Jacques Seurt.
Ces cérémonies, qui incluent le sacrifice et la
consommation de coqs et d’animaux d’élevage,
réunissent des centaines de personnes venues des deux
communautés et permettent généralement de
renouer le dialogue et ouvre la voie à la
réconciliation au niveau local.
L’OIM a jusqu’à présent
organisé des cérémonies en vue de promouvoir
la réconciliation et la cohésion sociale dans les
villes de Zeaglo, Douet-Guezon et Péhé. Plus de 300
déplacés devraient regagner Péhé dans
les prochains jours avec l’aide de l’OIM.
Cette initiative est financée par l’Office
humanitaire de la Communauté européenne (ECHO) et par
le CERF (le Fonds central autorenouvelable d'urgence des Nations
Unies).
Pour plus d’informations, veuillez contacter:
Jacques Seurt
OIM Abidjan
Tél. : +225 22 52 82 00
E-mail :
"mailto:Jseurt@iom.int">Jseurt@iom.int