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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Prévenir l'expansion du phénomène de traite pendant la Coupe d'Afrique des Nations
Une conférence de deux jours débute demain, le 28
octobre, à Luanda. Elle portera sur les solutions possibles
pour prévenir une intensification potentielle du
phénomène de traite en Angola avant le tournoi de
football de la Coupe d'Afrique des Nations début 2010.
Organisée par le Ministère de l'Intérieur
angolais et l'OIM, la conférence réunira des experts
de différents ministères des gouvernements
brésilien, sud-africain et portugais, ainsi que des
responsables de la mission de l'OIM en Allemagne, afin de partager
avec les participants leurs expériences de lutte contre la
traite pendant des évènements sportifs
importants.
L'année 2010 sera une année riche en
évènements sportifs, en particulier dans le sud de
l'Afrique. La Coupe d'Afrique des Nations aura lieu en Angola du 10
au 31 janvier 2010 alors que l'Afrique du Sud accueillera la Coupe
du monde de football du 11 juin au 11 juillet 2010.
Au total, 120 personnes de différents ministères,
dont le Ministère de l'Intérieur, des Affaires
Etrangères, de la Réinsertion sociale, de la Justice,
de l'Education, de la Famille et du Tourisme, participeront
à la conférence financée par l'Ambassade
britannique à Luanda et le gouvernement
norvégien.
L'Angola s'attend à voir se concentrer de nombreux fans
de football avant le championnat, intensifiant ainsi les flux
migratoires vers et dans le pays. Il existe donc des
inquiétudes croissantes, au sein des groupes qui luttent
pour le droit des femmes dans le pays, concernant le flux
inévitable de touristes qui risque de créer un
terrain favorable à l'industrie du sexe, susceptible
d'être exploité par les trafiquants.
« Bien qu'il s'agisse d'une préoccupation
potentielle, nous devons la transformer en une opportunité
de pouvoir sensibiliser la population au phénomène de
traite à une échelle que le pays n'a jamais connu.
Nous devons nous servir de l'intérêt que portera la
communauté internationale à la région
l'année prochaine pour faire en sorte que les trafiquants ne
parviennent par à leurs fins. Il s'agit également
d'une opportunité à la fois pour le gouvernement et
pour la société civile de s'engager plus activement
dans la lutte contre la traite », déclare Katharina
Schnöring, chef de mission de l'OIM en Angola.
En plus de co-organiser la conférence, l'OIM travaille
avec le Ministère de l'Intérieur, l'UNICEF et les
organisateurs de la Coupe d'Afrique des Nations sur une campagne
d'informations sensibilisant à la traite des enfants pendant
la Coupe.
D'après le rapport sur la traite des personnes
publié par le Département du Bureau d'Etat
américain en 2009, l'Angola est principalement un pays
d'origine pour la traite, en particulier pour la traite des femmes
et des enfants dans le domaine de la servitude domestique et des
jeunes hommes pour le travail agricole forcé.
Cependant, les femmes et enfants angolais sont aussi victimes de
traite vers l'Afrique du Sud, la République
démocratique du Congo, la Namibie et le Portugal.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Katharina Schnöring
OIM Angola
Tél. 00244 924 643 032
E-mail :
"mailto:kschnoring@iom.int%20" target="_blank" title=
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