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Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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Mise en œuvre du plan d’action de La Valette 2015 : migration régulière, droits et protection des migrants
Malte - A l’occasion de la première réunion intercontinentale de haut-niveau qui débutera mercredi 8 février pour suivre les progrès accomplis depuis le Sommet de La Valette organisé en novembre 2015, l’OIM mettra en avant la nécessité de trouver des solutions légales, de mieux protéger les migrants et de respecter les droits de l’homme.
La Réunion de hauts fonctionnaires à Malte sera une bonne opportunité pour renforcer la coopération et faire le point sur les engagements pris lors du Sommet de 2015, lors duquel 66 pays africains et européens et organisations internationales et régionales ont contribué à l’adoption d’une déclaration politique commune et d’une feuille de route connues sous le nom de « Plan d’action conjoint de La Valette » (JVAP en anglais).
Eugenio Ambrosi, Directeur régional du Bureau de l’OIM pour l’UE, qui participera à la réunion de deux jours, a déclaré que la sécurité, la dignité et les droits fondamentaux de tous les migrants, réfugiés et demandeurs d’asile devaient favoriser toutes les opérations mises en œuvre dans le cadre de la déclaration de La Valette et de son plan d’action.
« N’oublions pas les engagements mondiaux clés qu’ont pris tous les partenaires présents à La Valette, notamment les Objectifs de développement durable (ODM), la Déclaration de New York de 2016 et les futurs pactes mondiaux sur la migration et les réfugiés. Nous appelons nos partenaires de La Valette à relancer une approche reposant sur les droits des migrants, en insistant davantage sur la réintégration durable, la protection et l’aide humanitaire pour toutes les personnes concernées par le processus migratoire, indépendamment de leur statut, et en particulier pour les plus vulnérables », a déclaré M. Ambrosi.
Identifier les causes profondes de la migration irrégulière et du déplacement forcé est une priorité dans le suivi du Sommet de La Valette et selon l’OIM, les opportunités de migration et de mobilité régulières doivent faire davantage partie d’une approche globale à la gestion des migrations entre l’Afrique et l’Europe.
« Lors de la réunion de La Valette, nous avons reconnu que la migration ne pouvait être stoppée mais que les mouvements irréguliers pouvaient être réduits, au même titre que le recours à de dangereux périples et à des passeurs peu scrupuleux. Nous devons faire en sorte que les migrants puissent trouver des solutions légales comme alternative fiable à la migration irrégulière », a ajouté M. Ambrosi.
D’après l’OIM, la principale contribution de la déclaration de La Valette et du Plan d’action a été de renforcer la coopération entre les partenaires de La Valette des deux côtés de la Méditerranée.
Les engagements pris par l’UE et les partenaires africains à La Valette en 2015 ont été essentiels pour reconnaître que la migration ne peut être gérée de manière unilatérale ou isolée, mais qu’elle est un phénomène qui doit être régi conjointement en s’engageant sur le long terme.
« La réunion de La Valette a mis en avant notre conviction commune selon laquelle améliorer la gestion de la mobilité humaine repose sur notre capacité commune à aller au-delà des enjeux immédiats pour avoir une vision plus globale et à plus long terme », a conclu M. Ambrosi.
Des hauts fonctionnaires de l’Union africaine, du Service européen pour l’action extérieure, du Parlement européen, de la Commission européenne et de ses agences, des Etats membres de l’UE et des Etats africains, de la CEDEAO, du Secrétariat de l’ACP, des institutions des Nations Unies, des organisations internationales et de la société civile participent aux réunions.
A cette occasion, l’OIM publie la seconde édition de son rapport annuel sur la coopération avec l’UE. Le nouveau rapport examine le partenariat OIM-UE en 2015 et 2016 à travers le prisme des efforts conjoints déployés en vue de mettre en œuvre l’accord de La Valette et le travail de l’OIM financé par le Fonds fiduciaire de l’UE.
Le rapport intitulé IOM-EU Cooperation on Migration and Mobility: Addressing the Valletta Summit Priorities Together examine comment l’OIM et l’UE œuvrent main dans la main dans les cinq domaines prioritaires convenus lors du Sommet de La Valette en 2015 : les avantages de la migration pour le développement et l’identification des causes profondes ; la migration et la mobilité régulières ; la protection et l’asile ; la prévention de la migration irrégulière et la lutte contre ce phénomène ; le trafic illicite et la traite d’êtres humains ; et le retour, la réadmission et la réintégration.
Télécharger le rapport ici :
http://eea.iom.int/images/Download/IOM-EU Cooperation Booklet 2015-2016.pdf
Pour plus d’informations, veuillez contacter Ryan Schroeder, Bureau régional européen de l’OIM à Bruxelles, Tel: +32 (0)2 287 7116, Email: rschroeder@iom.int