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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’Organisation internationale pour les migrations ouvre mardi la 110ème session de son Conseil
Genève - Le Directeur général de l’OIM, António Vitorino, s’est addressé aux 173 Etats membres de l’Organisation à l’occasion de la session annuelle du Conseil de l’OIM qui s’est ouvert aujourd’hui, 26 novembre, à Genève.
« C’est un privilège d’être à la tête de cette Organisation…à un moment où notre travail est plus important et central que jamais dans notre effort collectif pour garantir que la migration soit sûre, bien gérée et qu’elle profite à tous », a déclaré le DG Vitorino. « Je compte sur votre soutien pour cela. »
Dans un discours abordant de nombreux thèmes, M. Vitorino a mis en avant la réponse de l’OIM face à de nouvelles situations humanitaires graves et de longue date, faisant remarquer que l’Organisation a aidé plus de 30 millions de bénéficiaires en 2018 et encore plus en 2019.
Les migrants doivent être perçus comme des « partenaires déterminés à établir de nouveaux futurs et à contribuer au développement durable », a-t-il souligné.
Il a fait remarquer qu’à travers le monde, des situations de crise émergent ou demeurent non résolues, déplaçant des millions de personnes de leurs habitations, situations peu susceptibles de s’améliorer rapidement.
« Les migrants continuent également de souffrir d’importantes exactions et difficultés dans certaines situations », a-t-il déclaré.
Pendant le premier semestre 2019, l’OIM a dispensé une formation et fourni une aide technique à plus de 45 000 partenaires des gouvernements, de la société civile et du secteur privé ainsi qu’aux dirigeants des communautés locales afin de renforcer la protection des migrants vulnérables à la violence, à l’exploitation et aux exactions, comme la traite d’êtres humains.
Toutefois, « de nombreux pays n’ont pas les structures basiques d’accueil et de soutien pour gérer de nouvelles arrivées ou répondre aux besoins spécifiques, en particulier dans les cas très graves comme ceux des mineurs non accompagnés », a-t-il fait observer.
La session du Conseil de trois jours comprend des débats sur trois thèmes, notamment le lancement, mercredi, de la publication phare de l’OIM intitulée « Etat de la migration dans le monde 2020 », un débat sur la consolidation de la paix et la création de bonnes conditions pour le développement : stabilisation du déplacement interne et réintégration des migrants et un autre sur les dynamiques de mobilité au Sahel.
Lors de la session d’ouverture, le Conseil a également accepté la demande d’adhésion du Liban.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Leonard Doyle au siège de l’OIM à Genève, Tel. +41 79 285 7123, email : ldoyle@iom.int