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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L’OIM soutient l’exécution des mandats du Sommet des Amériques
Washington, D.C. - L’OIM, l’organisme des Nations Unies chargé des migrations, s’est jointe à l’Organisation des Etats américains (OEA) et à neuf institutions internationales du Groupe de travail conjoint du Sommet (Joint Summit Working Group ou JSWG en anglais) en vue de soutenir la mise en œuvre et le suivi des mandats du Sommet des Amériques.
Lors d’une cérémonie de signature qui s’est tenue hier (04/09) au siège de l’OEA à Washington, D.C., l’OIM et les organisations membres du JSWG ont réaffirmé leur engagement à mettre en avant et à étudier les questions les plus importantes qui touchent les Amériques.
Lors du tout premier Sommet des Amériques organisé en 1994, plusieurs organisations s’étaient réunies pour débattre de l’importance de favoriser la confiance et la coopération interaméricaine entre les Etats et les institutions. Lors de ce premier sommet et de ceux qui ont suivi, les dirigeants ont débattu de questions politiques, d’inquiétudes et d’objectifs communs sur les principaux problèmes identifiés dans les Amériques. Parmi les secteurs clés identifiés figurent l’éducation, la santé, l’énergie, l’environnement, la migration, la sécurité, la participation citoyenne, la gouvernance démocratique et les partenariats continentaux pour le développement.
A l’occasion du huitième Sommet des Amériques qui s’est déroulé à Lima, au Pérou, en avril 2018, la lutte contre la corruption était de nouveau au centre des débats. L’Article 51 de l’Accord de Lima appelle le JSWG à allouer des ressources et à renforcer les capacités pour lutter contre la corruption, y compris les actes relatifs à la traite et au trafic illicite de personnes. Etant donné que les migrants sont particulièrement vulnérables à la traite, à l’exploitation et à d’autres exactions pendant leur périple, renforcer la transparence et les mécanismes de responsabilisation est une nécessité pour garantir une migration ordonnée et sûre.
La corruption étant un problème transversal qui touche les migrants directement et indirectement, l’OIM est la seule organisation à pouvoir apporter son soutien technique au JSWG et à l’OEA concernant la traite des êtres humains, crime dont la croissance est la plus rapide du monde. L’un des effets potentiels de l’échange d’informations et de meilleures pratiques est que les organisations seront mieux équipées pour lutter contre cette corruption et promouvoir la gouvernance démocratique.
« La participation de l’OIM témoigne de notre engagement soutenu à faire avancer les objectifs communs des Amériques, dont l’un est de combattre la corruption », a déclaré Luca Dall’Oglio, chef de mission de l’OIM à Washington. « L’expertise de l’OIM sur des thèmes comme la traite des personnes et le trafic illicite de migrants est particulièrement pertinente. Les initiatives visant à renforcer les capacités des enquêteurs, des procureurs, des juges et d’autres agences gouvernementales sont essentielles pour réduire la corruption. »
Le mémorandum d’accord signé cette semaine est centré sur l’amélioration de la coordination technique et du partage d’informations afin d’exécuter efficacement les mandats du Sommet. L’OIM reste profondément déterminée à atteindre les objectifs du Sommet et tiendra son engagement à lutter contre la corruption dans la région.
Outre l’OEA et l’OIM, les autres signataires sont la Banque interaméricaine de développement, la Commission économique pour l’Amérique latine et les Caraïbes, l’Organisation panaméricaine de la santé, la Banque internationale pour la reconstruction et le développement, l’Institut interaméricain pour la coopération en matière d’agriculture, la Banque centraméricaine pour l’intégration économique, Corporación Andina de Fomento, l’Organisation internationale du travail et le Programme des Nations Unies pour le développement.
Pour plus d’informations, veuillez contacter Liz Lizama, OIM Washington, Tel. +1 202 716 8820, email : elizama@iom.int