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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM soutient les projets de développement rural en Colombie
L'OIM en Colombie a annoncé, cette semaine, son soutien
à une série de projets importants du gouvernement
visant à encourager le développement rural et fournir
de l'aide aux populations déplacées à
l'intérieur de leur propre pays.
Grâce aux plus de 700 000 dollars donnés par USAID,
l'OIM aidera à la conception et à la mise en
uvre de projets de génération de revenus par le
biais du Programme des femmes rurales, mené par le
Ministère de l'agriculture, qui bénéficiera
aux femmes déplacées par la violence et retournant
aujourd’hui sur leurs terres.
D'après Juan Camilo Restrepo, Ministère colombien
de l'agriculture, « ce programme vise à faire des
femmes les actrices principales du secteur agraire en Colombie.
»
Et d'ajouter : « Les femmes représentent environ
46% de la population rurale, mais seules 30% d’entre elles
sont officiellement employées, par rapport aux 70%
d’hommes. Cette inégalité est due à
l’invisibilité et à la nature informelle du
travail accompli par les femmes rurales, plus qu’au fait
qu'elles ne travaillent pas. Le travail est principalement non
payé et leurs contributions ne sont donc pas
comptabilisées dans l'économie mondiale. »
En collaboration avec l'Institut colombien pour le
développement rural (INCODER en espagnol), l'USAID et
Acción Social, l'organisation présidentielle
chargée de lutter contre la pauvreté et d’aider
les populations déplacées, l'OIM aidera plus de 8 000
personnes des communautés déplacées à
mettre en uvre des projets qui leur permettront
d'accéder aux fonds alloués par le gouvernement
central pour le développement rural.
Une attention particulière sera centrée sur ces
terres qui seront rendues par le biais du processus de
réparation aux victimes, qui devrait permettre de
redistribuer plus de 50 000 hectares de terres, et de
développer quelque 1 700 projets agricoles et 110 projets
piscicoles.
L'OIM dispensera également une formation aux
autorités locales afin de s'assurer qu’elles puissent
soutenir les communautés lorsqu’elles créent
leurs petites entreprises.
L'OIM a fourni une expertise et une formation à INCODER
pour la conception et l'établissement de centres
d’aide pour les populations déplacés,
situés dans 31 des 32 zones urbaines de Colombie. Les
centres fourniront une aide et des conseils aux agriculteurs
déplacés qui retournent sur leurs terres. Ils auront
aussi la possibilité de faire des demandes de subventions,
de prêts et d’aide financière afin de mettre en
route des projets productifs dans leurs exploitations.
« Ce dont nous sommes témoins aujourd’hui est
signe que l'engagement du gouvernement à fournir des
solutions structurelles au déplacement forcé
évolue. Nous allons au-delà des besoins de base des
déplacés et nous nous centrons sur la
durabilité de leur retour », a déclaré
Alejandro Guidi, chef de mission adjoint de l'OIM en Colombie.
Plus de trois millions de Colombiens ont été
déplacés par la violence, laissant derrière
eux leurs maisons et leurs terres. Par le biais de sa politique de
restitution des terres et de développement rural, le
gouvernement colombien espère restituer quelque deux
millions d’hectares aux victimes de violence.
Pour plus d'informations, veuillez contacter:
Jorge Gallo
OIM Bogota
Tel: +57 1 639 7777
E-mail:
"mailto:jgallo@iom.int">jgallo@iom.int