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Qui sommes nous
Qui sommes nousL'Organisation internationale pour les migrations (OIM) fait partie du système des Nations Unies et est la première organisation intergouvernementale à promouvoir depuis 1951 une migration humaine et ordonnée qui profite à tous, composée de 175 Etats membres et présente dans 171 pays.
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Notre travail
Notre travailEn tant que principale organisation intergouvernementale qui promeut depuis 1951 une migration humaine et ordonnée, l'OIM joue un rôle clé pour soutenir la réalisation du Programme 2030 à travers différents domaines d'intervention qui relient à la fois l'aide humanitaire et le développement durable.
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L'OIM s'inquiète de l'augmentation des décès à la frontière entre la Grèce et la Turquie
Genève – L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) s'inquiète de l'augmentation du nombre de décès de migrants et des signalements incessants de refoulements à la frontière de l'Union européenne (UE) entre la Grèce et la Turquie.
Au moins 21 migrants sont morts à la frontière terrestre entre la Turquie et la Grèce en 2022, contre 10 décès signalés à la même période l'année dernière (janvier-février). On estime que 55 personnes ont perdu la vie en 2021 le long de la même frontière, principalement en août et pendant les mois d'hiver, selon le projet de l'OIM sur les migrants disparus.
Des refoulements, des expulsions collectives et le recours à une force excessive à l'encontre de personnes en situation de déplacement le long de cet itinéraire sont signalés régulièrement, d'après les témoignages recueillis par les équipes de l'OIM dans les deux pays. De telles actions ne sont pas conformes et s'opposent aux engagements et obligations des Etats en vertu du droit international et régional, comme la violation du principe de non-refoulement.
L'OIM s'inquiète de la persistance des mauvais traitements infligés aux migrants dans cette zone, malgré les appels répétés à agir. L'instrumentalisation des migrants est inacceptable et sauver des vies doit rester la priorité numéro une.
L'Organisation appelle les Etats à coopérer dans les zones frontalières où des mouvements irréguliers de personnes ont lieu et à travailler ensemble pour respecter l'objectif 8 du Pacte mondial sur les migrations afin de sauver des vies et de déployer des efforts internationaux coordonnés concernant les migrants disparus aux frontières communes.
L'intégrité et la sécurité des frontières peuvent être atteintes lorsque les droits de l'homme et le bien-être des migrants, quel que soit leur statut, sont au cœur de la réponse des États face à la mobilité.
En 2021, près de 3 500 personnes sont mortes en tentant d'entrer dans l'UE par les frontières maritimes et terrestres, ce qui en fait l'année la plus meurtrière pour les migrants dans la région depuis 2018. Ce bilan humain est intolérable et nécessite une action et une coopération urgentes.
L'OIM est prête à collaborer avec les États pour mettre en œuvre le Pacte et atteindre ses objectifs, pour sauver des vies et gérer les frontières selon une approche fondée sur les droits, pour assurer le respect des obligations des États en matière de droit international, et pour renforcer leurs capacités, dans le but de garantir la dignité et la sécurité des personnes en situation de déplacement.
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Pour plus d'informations, veuillez contacter :
A Genève : Safa Msehli, smsehli@iom.int, +41794035526
A Berlin : Jorge Galindo, jgalindo@iom.int, +49 160 179 1536
A Vienne : Joe Lowry, jlowry@iom.int, +43660 3776404